samedi 9 mars 2024

Hanté par la bite (4/4)

Il y a plus de monde que tout à l’heure. Et le spectacle est intéressant.

Il s’est assis sur un espace à mi-hauteur, dans la zone du « dieu égyptien », une jambe qui « tombe », l’autre repliée, le pied à proximité de son sexe…

Plusieurs mecs sont à proximité. Un petit attroupement s’est formé , comme un ensemble statuaire antique, perdue dans la moiteur de la buée du hammam.

Je vais m’asseoir à côté de lui, il me fait un peu de place sur sa droite. Sur sa gauche, un mec barbu est en train de l’entreprendre, et de lui caresser le sexe. Il repousse poliment la main aventureuse. Et se retourne vers moi. Nos lèvres s’approchent, se trouvent. Et se goûtent. Il embrasse goulûment, avec une langue dynamique, qui vient fouiller ma bouche, tout comme je fais dans sa bouche. Nos mains se caressent, le torse, les cuisses, l’entrejambe...je prends sa tête dans mes mains, le regarde, et replonge ma langue dans sa bouche. Whaoou, il est phénoménal, ce garçon…

Évidemment, nos étreintes attirent les regards (je me souviens que Quentin Mallet expliquait dans un de ses billets qu’il fallait s’activer dans les saunas, et qu’ensuite, tous les mecs venaient te voir, te tester, tenter de récupérer quelques miettes (ou beaucoup) de cette sensualité masculine). Je sens deux, trois regards, quelques mains qui viennent caresser mon dos. Je repousse gentiment. Je me le garde, ce bel homme ! Lui d’ailleurs fait de même. Je commence à lécher, puis mordiller ses tétons. Il aime bien quand c’est doux. Je continue alors l’exploration de son torse avec ma langue. Évidemment, je vais me retrouver face à son sexe, dur et droit, qui appelle à se faire engloutir dans ma bouche. Je reviens vers sa bouche, et me lève. Je m’assoie sur ses jambes, on se regarde et on continue à s’embrasser. Il me dit qu’il adore ma façon d’embrasser, d’être avec son corps. Comme moi, il vient assez rarement, il habite à la frontière belge. Je me redresse, frotte mon sexe sur son torse, puis, totalement debout, mon sexe est à hauteur de sa bouche. Il a vite compris ce que j’attendais, et ne se fait pas prier. C’est vraiment bon.

Même s’il fait chaud, je ne suis pas incommodé par la chaleur. J’apprécie vraiment ce corps, cette bouche, ce sexe. C’est curieux comme une alchimie se passe avec certains, et pas avec d’autres.

On continue à se prendre soin l’un de l’autre un bon moment. Je suis étonné d’arriver à contrôler mon plaisir, et à ne pas venir rapidement. Je suis pourtant tellement excité!! Lui non plus, il ne viendra pas, ou je ne m’en suis pas rendu compte, ce qui est encore possible. Il finit par quitter le hammam, me laissant à mes émotions. J’en profite pour récupérer un peu.

L’adage de Quentin se vérifie et un ou deux mecs tentent de m’approcher. Je refuse.


Puis, je sors à mon tour. Je déambule, et ne le retrouve pas. Il a sans doute filé. Rencontre éphémère, mais très intense.


Qu’à cela ne tienne, je vais me délasser dans la petite piscine, où j’avais connu aussi dans le passé de bons moments. Il n’y a personne. Et je distingue, en haut, un type plus trop jeune (je dirais plus de la soixantaine), mais très bien foutu et bien conservé, qui me regarde. Il a beaucoup d’allure, musclé, les cheveux gris, presque blanc, taillé courts. Je l’ai croisé plusieurs fois, nos regards se sont croisés aussi, mais je n’avais pas donné de signes prometteurs. Là, je le regarde fixement. Il a bien compris. Cinq minutes après, il est à côté de moi dans la piscine. Comme toujours, on est à côté, mais personne ne fait rien. Mon pied se rapproche alors du sien, il en profite pour se rapprocher aussi, et me caresser le sexe . Je fais la même chose. Il se met face à moi, m’embrasse avec appétit. Je bande fort. Il a bien compris, et emprisonne alors mon sexe entre ses jambes, tout en continuant à m’embrasser. Que vous dire ? Cette position m’excite énormément, je suis prêt à venir. Je lui demande d’arrêter , lui expliquant la raison. Très « propre », il me réponds qu’effectivement, ca ne se fait pas dans cette piscine (je suppose que certains ne se gênent pas pour éjaculer allègrement), et me propose un tour au hammam.

On s’y retrouve alors. Il va directement dans le coin le plus sombre, un peu étroit, où il y a déjà quelques mecs. Il me susurre à l’oreille que c’est « merveilleux ». C’est marrant comme terme, un peu désuet, décalé dans cet endroit. Mais sur le fonds, il à raison!!Très vite, il s’agenouille pour me sucer, avec douceur et sensualité. J’adore. Il se relève pour m’embrasser, se retourne et m’offre son dos, ses fesses. Je reprends alors la scène de la piscine, là où elle s’était interrompue, passant mon sexe sous ses fesses, entre ses jambes. Il souffle un peu bruyamment, mais pas trop. Ca lui plaît. Moi, aussi. Et je ne résiste pas très longtemps. Je me dégage, il me remercie encore pour ce moment « merveilleux ». Je sors me doucher, je me rends compte de l’heure, j’ai un dîner de boulot (je sais d’ailleurs que les deux mecs avec qui je vais dîner sont homos), je dois filer en vitesse.

Moment magique passé à l’Oasis. J’essaierai d’y retourner dès que possible, et plutôt en après-midi, la prochaine fois que je serais à Bruxelles, mais c’est pas évident.


Seule petite ombre au tableau : je me rappelle le soir, dans ma chambre d’hôtel, que je m’étais un peu brûlé la bouche la veille en mangeant des frites (ben oui, on est à Bruxelles quand même!) trop chaudes. Du coup, je flippe sur une possible infection HIV, par de petites blessures dans la bouche (je n’en ai pas, je vérifie, mais un peu de peau arrachée, et pas de sang). Je me dis d’abord que le type n’était peut-être pas porteur. Mais ca m’obsède.

En rentrant, je décide alors d’aller me faire tester. Je découvre que cela n’apparaît pas avant 6 semaines par prise de sang, et au moins 3 mois, avec l’autotest. Whaoouu !! CA m’empêche de dormir. Je ne veux pas contaminer ma moitié : Ca fait donc 6 semaines que je n’ai plus baisé. Et j’en ai profité pour faire un tour à la permanence de Aides (qui est à 300 m de chez moi). Je raconterais ce moment prochainement, notamment ma nervosité à l’idée de pénétrer cet endroit, et de rencontrer quelques copains médecins, que j’imagine tout à fait faire des permanences chez Aides. Ils m’ont en tous les cas rassuré en me disant que les cas d’infections HIV par fellation étaient vraiment très très rares. (je sais que le virus est très volatile et meurt très vite à l’air libre). Mais bon, il existe aussi d’autres maladies transmissibles. On reviendra sur ce sujet.

vendredi 23 février 2024

Hanté par la bite (3/4)

Il y avait pas mal de monde, plutôt âgé il faut dire (on va dire la cinquantaine, voire soixantaine), mais il y avait quand même aussi plus jeune…..

Les vestiaires ne sont pas très grands, un peu vétustes (mais bon, ils remplissent leur fonction!), répartis sur trois espaces, plutôt petits. Il y avait un type qui partait, et on était plutôt serré ! Qu’à cela ne tienne, me voici avec ma serviette autour de la taille, à la re-découverte de ce beau domaine.

J’y retrouve ces statues plus ou moins antiques, certaines des copies, d’autres en marbre (whaouuu). L’espace est toujours aussi vaste, des cabines et une dark room à l’étage, mais quasiment vide. Ce sont les sous-sols qui sont plus intéressants, avec le coffre-fort, le sauna sec , tout en longueur, le hamman à la déco égypto-orientalisante, une petite piscine (où j’avais connu un beau moment il y aplusieurs années), le jacuzzi. Et des douches par-ci par-là.

J’ai un peu froid, donc je file au hammam.

Trois espaces : un assez éclairé, avec une banquette, qui te mène à un second, mosaïqué, avec une statue de dieu (?) égyptien, où il y a deux ou trois mecs, pas tout jeunes, et un troisième espace, en longueur, avec des mini alcôves, très sombre, le genre d’endroit où tu ne passes pas à deux , sans te toucher.

Je m’installe sur l’espace intermédiaire.

Et j’observe.

Il se passe peu de choses. Un type, qui ne m’attire pas, s’avance vers moi, mais n’insiste pas face à mon mutisme. Je me réchauffe peu à peu, mais ce que j’observe n’est pas forcément attirant. Au bout de 10 minutes, je ressors.

Le jacuzzi, qui était plein tout à l’heure est à moitié vide.

J’y rentre , et découvre une eau chaude qui me ravit. Mes collègues de bain s’observent, comme toujours. Moi aussi. Il y a deux types en face de moi, qui se caressent , s’embrassent. Et puis vient s’installer à coté de moi un type d’une quarantaine d’année, plutôt charmant, type légèrement méditerranéen, mais je ne sauris trop dire. Un brun en tous les cas aux cheveux courts.

On se regarde sans se regarder. Nos regards se croisent, s’enfuient. Et puis, ce que j’adore dans les jacuzzis, il répond à mes appels du pied sous l’eau. Ma main caresse sa cuisse, avant de caresser autre chose, ce qui m’oblige à tendre le bras. Il fait de même. On se regarde. On se rapproche, plus facile pour tenir la bite de l’autre, et caresser ce qu’il y a à caresser. Ca dure un petit moment.

Et puis, il se lève, sort du bain, la queue en l’air. Me regarde de manière insistante, et file vers le hammam, en prenant soin de me regarder fixement , en rentrant dans le hammam. Message limpide.

Je sors à mon tour, et vais le rejoindre dans le hammam….

Il y a plus de monde que tout à l’heure. Et le spectacle est intéressant.

Il s’est assis sur un espace à mi-hauteur, dans la zone du « dieu égyptien », une jambe qui « tombe », l’autre repliée, le pied à proximité de son sexe….( à suivre)

 

mardi 30 janvier 2024

Hanté par la bite(2/4): expérience à Bruxelles

 

Suite du précédent billet: 

Tout cela s’illustre tout à fait lors de ma dernière escapade à Bruxelles …. 

Enfin, escapade, pas vraiment, j’y étais pour le boulot. J’adore cette ville, cosmopolite, européenne, où tu entends plein de langues presque inconnues à ton oreille, où il y a du bon chocolat, de bonnes frites, un côté décalé et absurde parfois des habitants, qui sont en général d’une rare gentillesse, et jamais arrogant. Et puis une architecture qui me laisse souvent pantois, entre l’ultra chargé gothique(?) de Grand Place jusqu’aux immeubles Art Deco des années 30, en passant par ces maisons à étage, en briques, avec de grandes fenêtres, derrière lesquels tu aperçois souvent des murs d’un blanc immaculé avec des décos minimalistes, qui m’attirent.

J’avais pas mal de boulot, mais pour une fois, j’étais plutôt dispo le soir, et j’ai pu me dégager deux heures en fin d’après-midi, ce qui est juste ce qu’il me faut pour aller batifoler dans mon sauna préféré de Bruxelles, « l’Oasis » (j’en ai déjà parlé ici, ici, et encore ici et ). Donc , par rapport à mon article précédent, que pensez-vous que j’ai fait ?

- je me suis couché tous les soirs à 2H du matin, alors que je devais partir le lendemain à 8H30, en alternant visites sur sites de rencontres et visionnage de petits films de cul : aucune rencontre sur les réseaux. Personne n’est dispo.

- sur les conseils de Estef je suis allé faire un tour à l’Homoerectus. Première fois que je rentre seul dans un bar gay. Ce n’est plus le lieu qu’il décrivait ici. Apparemment, déplacé à quelques mètres du site « historique » (je suis souvent passé devant par le passé, sans jamais osé y entrer). Peu de monde, pas vraiment un lieu de rencontres, plutôt un lieu gay (et c’est très bien que ca existe)

- et finalement, escapade au sauna…


Avec l’inflation, la hausse du coût de l’énergie, les prix ont beaucoup augmenté à Bruxelles (salaires et loyers sont indexés sur l’inflation). Les restaurants sont beaucoup moins abordables qu’à Paris. Quant aux saunas, le prix d’entrée est de 27 ou 28€, avec des exceptions un jour par semaine, où il baisse de 3 ou 4€. J’en connais deux : le Macho, le plus cher, qui ne m’avait pas enthousiasmé la seule fois où j’y suis allé. En revanche, l’Oasis est je pense un des saunas que je préfère (voir les liens vers mes anciens posts dans le second paragraphe de ce billet) . Il est situé dans une grand hôtel particulier, fin 19eme je dirais. On se croirait chez un collectionneur bourgeois, avec un salon très bourgeois, des moulures au plafond, de très belles photos de mec en noir et blanc, bien encadrées, des couloirs un peu labyrinthiques qui t’amène dans un beau jacuzzi, un hammam oriental, un long sauna très chaud (la température), des espaces répartis sur plusieurs niveaux, une salle coffre-fort où se trouve un sling (ca me fait marrer, ce lieu et sa nouvelle utilisation !), d’autres salons dans les caves, moins bourgeois donc, des sculptures antiques (des copies), d’autres statues en marbre (des vraies). Il y a parfois de petits courants d’air, mais globalement, c’est un bel espace où on se trouve bien. J’y suis allé le second soir (un mercredi où c’était moins cher), mais je suis arrivé trop tard, à une heure de la fermeture. A ce prix là, je me suis replié sur un cornet de frites, et ma chambre d’hôtel, avec mon écran de portable.

J’étais moins déçu quand je me suis rendu compte que je risquais d’être dispo en fin d’après-midi du lendemain. Ce qui fut le cas, et je n’ai pas regretté.

Il y avait pas mal de monde, plutôt âgé il faut dire (on va dire la cinquantaine, voire soixantaine), mais il y avait quand même aussi plus jeune…..

dimanche 28 janvier 2024

Hanté par la bite ? (1/4)

 

Je me rends compte depuis quelques temps de mon obsession des mecs en général, de leurs corps, de leurs bites plus en particulier. J’en ai parfois parlé sur ce blog. Je commence à penser que c’est devenu une réelle addiction. J’y pense quasiment en permanence. Au boulot, quand je suis avec des interlocuteurs professionnels et que l’on bosse sur des sujets qui m’ennuient. En extérieur évidemment, quand je croise de beaux mecs (ou de moins beaux), avec mon regard qui passe des yeux (c’est ce que je regarde en premier) à l’entrejambe, adorant chercher à deviner ce qui se cache là-dessous.Quand je suis seul, bien évidemment, où mon esprit dérive, stimulé il faut le dire par certains réseaux de rencontres, tels Roméo (où je perds un temps faramineux à échanger avec des plans impossibles…) ou par des sites de vidéos sexy (le mot est faible), où là aussi, je passe un temps trop important, et où parfois j’éteins à 2h du matin, alors que je dois me lever à 7H. Non, ce n’est pas très sérieux, pas très raisonnable. A mon âge en plus !! hahahaha

Je me suis rendu compte que quand je faisais des rencontres réelles, je n’avais pas ensuite besoin de perdre ce temps devant les écrans. Oui, le réel, c’est quand même vraiment mieux, on le sait tous !!! Le problème, c’est que l’effet d’une rencontre me « calme » et ne dure que 24h. Et après rebelote, me voici de nouveaux sur les écrans , réseaux et autres films de cul. Mais je ne peux pas non plus aller tous les soirs au sauna, tant que je ne trouve pas de « réguliers ». Je ne vois pas trop de solutions, quand je me retrouve seul, à part celle de m’occuper, de travailler, de faire du sport, d’être avec du monde. Mais ca n’empêchera pas mon esprit de voguer vers des pensées  « masculines ». Devrais-je aller voir un psy pour travailler sur l’addiction? Faire mon coming-out (le fait d’assumer rendrait moins obsessionnel cette recherche de l’« interdit » dû à ma situation sociale? (mais je n’en suis pas capable aujourd’hui), autres ? .

Est-ce grave docteur ?

Tout cela s’illustre tout à fait lors de ma dernière escapade à Bruxelles ….

mardi 23 janvier 2024

Alex à la belle bite

 

Je me rends compte que je ne vous raconte plus trop l’état de mes ébats masculins. Il faut dire qu’il y en a moins qu’avant. Manque de temps ? Lassitude de rencontres sans lendemains ? Baisse de libido ? Me rendre compte qu’il y a des êtres autour de moi (ma moitié) qui méritent plus d’attention de ma part, parce que c’est une personne exceptionnelle ? Sans doute un peu de tout ça. Mais malgré tout, un désir très fort, une attirance profonde pour l’Homme, qui fait que je passe beaucoup de temps à admirer des photos, dessins, peintures de beaux spécimens sur les réseaux sociaux, certains blogs ou comptes instagram ou tumblr mentionnés sur ce blog.

Et donc , parfois des passages à l’acte ! Hahhaha ….

Il y a peu de temps, je me retrouve donc célibataire quelques jours, et trouve un contact sur Roméo, correspondant à mes recherches. Je suis étonné de la réactivité de Alex , qui en moins de 15 minutes se décide à venir chez moi dans la soirée. On échange sans problèmes nos tels -précaution que je prends désormais pour éviter (dans la mesure du possible) d’éventuels lapins- .

Et je reçois assez vite un message sur WhatsApp (qui me permettra de connaître son nom…) de sa part, qui me dit qu’il avait déjà mon numéro dans son tel !?? nous avions donc dû avoir échangé dans le passé , sans pouvoir concrétiser. Cela l’a sans doute conforté dans son envie de venir, car il arrive avec 5 à 10 minutes d’avance.

Alex est plutôt beau mec, sans être non plus l’apollon sur qui tu te retournes spontanément quand tu le croises, un peu plus jeune que moi sans doute. Il fait froid, donc il arrive tout emmitouflé dans sa doudoune fourré. On boit un verre, avant de passer aux choses sérieuses, et de filer au lit. Très sensuel, il embrasse comme un dieu, je suis raide et dur comme du béton. Lui aussi. On s’effeuille progressivement (enfin, un type qui apprécie de se déshabiller en prenant son temps), se caressant nos torses respectifs avec beaucoup de douceur, et d’intérêt. Il est peu poilu, mais suffisamment pour me plaire (mais je ne crache pas sur les imberbes, loin de là!). Et je découvre peu à peu un corps bronzé, sans trace de boxer/slips, musclé et entretenu, très agréable. Et une bite, de belle taille, que je dirais parfaite : douce, longue et bien « coulissante », à la courbure harmonieuse, facile à attraper, réactive. Une bite qui vous fait vite perdre la tête.  Et  les sens. On ne se connait pas si bien!!

Que vous dire ? Que le moment fut agréable, long, détendu, sensuel. Lui qui se disait actif s’est fait caressé, embrassé, pris en charge par votre serviteur, à mon grand étonnement. Il y avait longtemps que je n’avais pas connu de moments aussi sensuels.


Je ne sais pas si on se reverra, il est aussi en couple, a répondu à mon message sur whatsapp juste après (mais je n’envoie pas de messages sur ces comptes perso), et ne me reponds pas sur les réseaux sociaux. Mais ce serait le régulier idéal pour moi !

Et il vient de me répondre sur what’s app à une proposition « malhonnête » pour demain !

PS: et c'est drôle, mais j'ai plus de mal à vous raconter les détails "croustillants", je deviens pudique avec l'âge

dimanche 21 janvier 2024

Bonne Année 2024!

 


 

 

 

 

Je mettrais cette nouvelle année 2024 sous le signe de cet artiste asiatique, Ding Wenjie, sorte de Tom of China dont je parlais dans mon précédent post, dont l’univers mâle me plait énormément : très érotique, sans tabou, et donc très ouvert, nourri d’un imaginaire asiatique, que je suppose plutôt chinois (mais je connais assez mal en fait), avec des dragons et créatures curieuses et intrigantes, intégrées avec beaucoup de talents. Et puis, une manière remarquable (et parfois frustrante quand même) de contourner la censure Instagram (et certainement de son pays, mais je ne sais pas d’où il publie). Donc, je vous souhaite une année de plaisirs de la chair, de l’imaginaire et de la sensualité, dont nous avons tous besoin, en ces temps plus que incertains, anxiogènes, et perturbés-perturbants. 

Illustration : "Tony is working his aphrodisiac magic during the bubble bath in the Friday sauna club" DING_WENJIE678, Instagram, 8 janvier  2024