dimanche 28 janvier 2024

Hanté par la bite ? (1/4)

 

Je me rends compte depuis quelques temps de mon obsession des mecs en général, de leurs corps, de leurs bites plus en particulier. J’en ai parfois parlé sur ce blog. Je commence à penser que c’est devenu une réelle addiction. J’y pense quasiment en permanence. Au boulot, quand je suis avec des interlocuteurs professionnels et que l’on bosse sur des sujets qui m’ennuient. En extérieur évidemment, quand je croise de beaux mecs (ou de moins beaux), avec mon regard qui passe des yeux (c’est ce que je regarde en premier) à l’entrejambe, adorant chercher à deviner ce qui se cache là-dessous.Quand je suis seul, bien évidemment, où mon esprit dérive, stimulé il faut le dire par certains réseaux de rencontres, tels Roméo (où je perds un temps faramineux à échanger avec des plans impossibles…) ou par des sites de vidéos sexy (le mot est faible), où là aussi, je passe un temps trop important, et où parfois j’éteins à 2h du matin, alors que je dois me lever à 7H. Non, ce n’est pas très sérieux, pas très raisonnable. A mon âge en plus !! hahahaha

Je me suis rendu compte que quand je faisais des rencontres réelles, je n’avais pas ensuite besoin de perdre ce temps devant les écrans. Oui, le réel, c’est quand même vraiment mieux, on le sait tous !!! Le problème, c’est que l’effet d’une rencontre me « calme » et ne dure que 24h. Et après rebelote, me voici de nouveaux sur les écrans , réseaux et autres films de cul. Mais je ne peux pas non plus aller tous les soirs au sauna, tant que je ne trouve pas de « réguliers ». Je ne vois pas trop de solutions, quand je me retrouve seul, à part celle de m’occuper, de travailler, de faire du sport, d’être avec du monde. Mais ca n’empêchera pas mon esprit de voguer vers des pensées  « masculines ». Devrais-je aller voir un psy pour travailler sur l’addiction? Faire mon coming-out (le fait d’assumer rendrait moins obsessionnel cette recherche de l’« interdit » dû à ma situation sociale? (mais je n’en suis pas capable aujourd’hui), autres ? .

Est-ce grave docteur ?

Tout cela s’illustre tout à fait lors de ma dernière escapade à Bruxelles ….

2 commentaires:

  1. Je ne trouve pas ça grave, mais peut-être suis-je atteint des mêmes symptômes et je cherche à m'en dédouaner. :DDDD

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  2. Pas bien grave pour moi non plus même si j'ai beaucoup d'autres choses à faire qui prennent autant de retard. Peut-être le psy nous aiderait à démêler ce qui relève de la recherche de l'interdit (mais alors si celui-ci se levait quel autre chercherions nous) de celle du plaisir (devrions-nous y renoncer ?), mais je n'y vois pas d'urgence. En tout cas, je ne lui en ai jamais parlé ^^

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