Il y a des moments étranges dans la vie , qui revêtent parfois une singulière importance . Pour moi, c'est toujours lors des demi-saisons ( de par mon ambivalence ?), en octobre ou novembre (mais aussi en mars). Un syndrome post été? Pas uniquement. En tous les cas, j'ai perdu des êtres très chers à cette période , j'ai souvent changé de boulot aussi en automne, en général pour le meilleur .
Cette année ne démentira pas ce qui précède. Mais c'est un peu différent, puisque une page de ma vie semble se fermer .
Face à cette nouvelle situation, faut-il continuer à regarder cette page qui se ferme ? Ou au contraire en ouvrir une bien belle, toute neuve, presque vierge (car à mon âge , je ne peux me considérer comme vierge de toute expérience) ? Estef en a parlé le 11 novembre : avancer sans se tourner! Oui, il faut avancer et sans doute la seconde hypothèse est la plus prometteuse! Beau défi en perspective , sachant que ces deux derniers mois ont aussi été riches en "premieres fois " quii peuvent me faire penser que je suis déjà dans cette nouvelle phase ( j'y reviendrais prochainement sur ces premières fois).
En attendant, même si le défi est enthousiasmant, quitter ce qu'on a construit professionnellement depuis plusieurs années reste difficile et un peu angoissant.
C'est là que t as besoin de bras qui t'enlacent, de tendresse infinie, de corps à corps éperdus, de réconfort! C'est curieux comme j'ai l'impression que c'est plus de chaleur physique dont j'ai besoin que de chaleur sentimentale.
Arthur avans !
RépondreSupprimerTu peux être un guerrier ...