Cet été est un peu
morne côté rencontres. J'ai du temps disponible, mais le « marché »
est peu fourni !!! Pas grand monde sur les tchats (du moins,
dans mon coin), les saunas sont désertés (je me suis
retrouvé à 3 personnes dans le sauna de la ville d'à côté !!
c'est terrible comme sensation!), c'est un peu la misère !!
Pourtant, je suis
toujours en dialogue avec certains, impossible à voir tout au long
de l'année, car en couple (eux comme moi), et monsieur ou madame est
dans les parages, donc pas d'incartades extraconjugales possibles.
Il y a un certain Mathias
avec qui je dialogue depuis très longtemps. Il est marié, a avoué
à sa femme avant le mariage qu'il était attiré par les mecs, mais
elle ne lui en tient pas rigueur dans la mesure où il a « arrêté ».
En fait, il voit un mec régulièrement, à 5 minutes de son boulot,
et ne va pas voir plus que ça ailleurs. Quoique....puisqu'il traîne
régulièrement sur les tchats....
Moi, ca faisait longtemps
que je n'avais pas été sur les tchats, et depuis quelques jours, je
reprends contact avec lui. Etant assez dispo en ce moment, je lui
propose une rencontre, sachant que nous nous sommes quand même déjà
rencontré une fois, cet hiver, autour d'un verre, pour échanger sur
nos vies respectives, et difficultés d'emploi du temps et de
possibles rencontres.
Le courant était passé,
on se plaisait bien.
Il me trouve assez
persévérant, à le relancer, lui proposer un verre , voire plus.
Finalement, il mord à l'hameçon, me propose une rencontre hier fin
d'après-midi, à mi-chemin entre chez lui et chez moi, en pleine
campagne. Je ne peux pas, mais on convient de s'appeler aujourd'hui
pour un rendez-vous similaire.
On arrive donc à se
caler un moment entre 19h et 19h45. C'est court. Et je n'ai pas
compris si il veut un plan nature ou prendre un verre. Mais vu le
lieu de rendez-vous, un petit village, je doute d'un verre à
partager.
On se retrouve tout de
suite. Et immédiatement, il me propose de filer en voiture dans un
coin plus tranquille. On se suit, on trouve un petit chemin, qui
borde un champ de maïs. On discute un peu, il regarde sa montre , et
me suggère qu'on aille s'enfouir dans le champ de maïs. C'est vrai
que les maïs sont plus grands que nous, et qu'ils nous cacheront
très bien. On trouve une espèce de percée dans le champ, puis on
rentre dans une rangée. Personne ne peut nous voir.
Je commence à
l'embrasser, doucement, puis avec plus de fougue, lui fourrant ma
langue dans sa bouche, à la recherche de sa langue à lui. Je
caresse son dos, entrouvre sa chemise qui laisse découvrir un torse
poilu comme j'aime. Je lui passe la main sur la bosse avant de son
pantalon qui commence à prendre des proportions intéressantes,
caresse ses fesses fermes. Il entrouvre également ma chemise. Mais
moi qui ne lui ai entrouvert que deux boutons, lui entreprend
d'ouvrir tous mes boutons de chemise, qui de fait s'entrouvre
largement sur mon torse « mais t'es bien foutu en fait »
me dit-il, que je comprends comme un compliment, mais dont je
comprends mal le « en fait ». Il me dit que vu mon age,
je n'ai pas de bide, et là, je me demande ce que j'ai pu lui dire
qui lui faisait penser que j'avais du bide!!!!
Bon, continuons !
Je lui titille les tétons
de mes dents. Il souffle, crie doucement. Ça lui plaît. Je reprends
sa bouche, que je dévore avec véhémence. Il aime. Il est étonné
de ma « fougue » dit-il, qu'il n'imaginait pas :
« tu as l'air tellement sérieux d'apparence, on n'imagine pas
ce feu de ta part ! ». Çà, c'est un compliment pour
moi !. Il me caresse aussi, mais a plutôt tendance à se
laisser faire. C'est un passif. Je défais sa ceinture, ouvre son
pantalon, le baisse, pour découvrir un joli boxer que je baisse
rapidement, et d'où sort un drôle de diable, une bite épaisse,
totalement orientée vers la gauche. Jamais vu ça, mais amusant en
fait. Je m'agenouille, et commence à le sucer doucement, mais
voluptueusement. Il apprécie le bougre. Je me relève, prends sa
bouche de nouveau (« tu aimes jouer avec ta langue »,
me dit-il), malaxe ses fesses. Je coince sa bite entre nos deux
ventres, et commence un mouvement de frottements entre nos corps,
qu'il apprécie. En même temps, j'introduis un doigt dans sa
rondelle, ce qui le fait de nouveau crier doucement de plaisir.
Puisqu'il ne baisse pas mon boxer, je le fais, et vais placer ma bite
entre ses jambes, sous sa bite (il est un tout petit peu plus grand
que moi ; Ça , il aime. De l'autre côté, quand mon doigt
n'est pas en train de lui titiller l'anus, il lui masse le périnée.
Ça aussi , il apprécie.
On se rends compte à ce
moment là qu'aucun de nous n'a de capotes, ni de quoi nous essuyer
en cas d'éjaculation soudaine. Je lui explique que dame nature que
nous honorons ainsi, saura nous donner une solution en cas de
jouissance. D'ailleurs, elle nous gâte déjà , puisque une légère
brise agite les maïs, donnant un peu d'air dans cet fin d'après-midi
moite. Nos torses nus sont d'ailleurs déjà dégoulinants de sueur.
On entend des graviers
qui frissonnent. Une voiture approche, nous nous immobilisons, puis
la voiture repart. On reprends nos frottements. J'adore ce moment :
la nature, le mais, la brise, et ce mec bien foutu et sympa dont je
profite totalement. Ça me rappelle un moment sous les pêchers, il y
a quelques années !
Mais le temps tourne, il
est en costume de boulot, bien propre sur lui, je ne vais pas non
plus le culbuter sur la terre meuble du champ de maïs (d'ailleurs,
à la réflexion, avec la sécheresse actuelle, c'est un peu indécent
cette terre meuble...sans doute le prix à payer pour cacher nos
ébats illicites!). On décide
donc de s’arrêter là. Il est tout en érection avec sa bite qui
indique l'Ouest, un peu rouge d'excitation, dégoulinant tout comme
moi, qui bande aussi effrontément !
On
récupère nos pantalons, qui ont traîné dans la terre, et ne sont
donc plus très propres....nous avons donc laissé des traces!on se
frotte l'un l'autre nos fesses respectives !
Et
on se quitte, très désolé de ne pas avoir tout achevé, mais tout
aussi heureux de cette frustration qui n'appelle qu'à une autre
rencontre !
Dans les maïs ! Ce n'était pas plein de petits insectes ?
RépondreSupprimerTrès bon début .... Les maîs c'est mieux que les vignes pour se cacher ..
RépondreSupprimerBel été à toi !!
Bises
O.