jeudi 9 octobre 2014

Les petites bêtes qui montent, qui montent (3, et fin)

Je reprends donc cet article sur les morpions que j'avais commencé ici et là.

morpion.jpg
Je me suis toujours demandé où je les avais attrapés. Il y a quatre solutions possibles:
1.  C'est une de mes rencontres , un amant furtif, ou non, poilu, qui me les a filé. Il faut dire que avant ma découverte, et entre la première dose d'"anti-morpions" et la seconde, j'avais rencontré le même mec. Ce qui doit être certain, c'est que si j'en ai eu, il a dû en avoir aussi. Qui les avait en premier? that's the question!!! en tous les cas, je le croise de temps en temps sur des sites, mais l'évite soigneusement, ce qui est idiot, car si il en a eu, je suppose qu'il s'est décontaminé?  Lui me relance parfois, il n'en a peut-etre pas eu.

2.  j'avais mentionné avoir passé la nuit dans un hôtel un peu sale. Effectivement, j'avais dû aller pour mon boulot dans un endroit un peu lointain, où mes partenaires professionnels m'avaient réservé une chambre , où le lit n'avait apparemment pas été fait. Je n'avais pas fait d'esclandre à l'hotel , car la situation difficile du lieu pouvait expliquer un certain relachement. Le lendemain, mes draps étaient propres. Alors, peut-etre que cette nuit-là, j'ai choppé ces saloperies!!

3. la piscine: on dit que les piscines (comme les saunas, pourtant avec la chaleur d'un sauna, ca doit les tuer d'un coup!)) sont des endroits à morpions. Ai-je laissé trainer ma serviette là où il ne fallait pas? pas trop crédible quand même!

4. ma femme: j'ai évoqué l'éventualité ici. Je la crois fidèle, comme elle me le croit. Elle n'a pas douté un instant que je l'avais attrapé dans l'hotel. Après, faut-il lui poser la question directement? je pense que non, je suis de ceux qui estiment que, même dans un couple, il faut avoir des secrets et des parts d'ombres, tant qu'ils ne mettent pas en danger l'autre, et le couple. Et que l'Amour est aussi un mélange de sentiment (l'agapé grec), de corps (l'éros), et même d'amitié (la filia). PArfois, les trois sont mélés, parfois deux, parfois, une seule personne incarne l'un de ses aspects. Si je pense trouver les trois chez ma conjointe, j'ai toujours besoin d'eros avec un mec, sans arriver à comprendre pourquoi.
Et ce besoin, ma douce n'a pas besoin de le savoir.

Depuis le temps, je n'ai pas rechoppé de ces bestioles, ni rien d'autres d'ailleurs (je touche du bois). J'ai toujours un reste d'"anti-morpion" dans ma trousse de toilettes. On ne sait jamais , ca peut servir , tout de même!!!
Et apparemment, le meilleur moyen de s'en dépétrer reste quand même de se raser en totalité!

1 commentaire:

  1. Euh... Mes petites connaissances professionnelles m'obligent à décliner la proposition 2 et 3. La 4, je ne puis m'impliquer. la 1 reste donc fortement... probable !

    RépondreSupprimer