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vendredi 23 février 2024

Hanté par la bite (3/4)

Il y avait pas mal de monde, plutôt âgé il faut dire (on va dire la cinquantaine, voire soixantaine), mais il y avait quand même aussi plus jeune…..

Les vestiaires ne sont pas très grands, un peu vétustes (mais bon, ils remplissent leur fonction!), répartis sur trois espaces, plutôt petits. Il y avait un type qui partait, et on était plutôt serré ! Qu’à cela ne tienne, me voici avec ma serviette autour de la taille, à la re-découverte de ce beau domaine.

J’y retrouve ces statues plus ou moins antiques, certaines des copies, d’autres en marbre (whaouuu). L’espace est toujours aussi vaste, des cabines et une dark room à l’étage, mais quasiment vide. Ce sont les sous-sols qui sont plus intéressants, avec le coffre-fort, le sauna sec , tout en longueur, le hamman à la déco égypto-orientalisante, une petite piscine (où j’avais connu un beau moment il y aplusieurs années), le jacuzzi. Et des douches par-ci par-là.

J’ai un peu froid, donc je file au hammam.

Trois espaces : un assez éclairé, avec une banquette, qui te mène à un second, mosaïqué, avec une statue de dieu (?) égyptien, où il y a deux ou trois mecs, pas tout jeunes, et un troisième espace, en longueur, avec des mini alcôves, très sombre, le genre d’endroit où tu ne passes pas à deux , sans te toucher.

Je m’installe sur l’espace intermédiaire.

Et j’observe.

Il se passe peu de choses. Un type, qui ne m’attire pas, s’avance vers moi, mais n’insiste pas face à mon mutisme. Je me réchauffe peu à peu, mais ce que j’observe n’est pas forcément attirant. Au bout de 10 minutes, je ressors.

Le jacuzzi, qui était plein tout à l’heure est à moitié vide.

J’y rentre , et découvre une eau chaude qui me ravit. Mes collègues de bain s’observent, comme toujours. Moi aussi. Il y a deux types en face de moi, qui se caressent , s’embrassent. Et puis vient s’installer à coté de moi un type d’une quarantaine d’année, plutôt charmant, type légèrement méditerranéen, mais je ne sauris trop dire. Un brun en tous les cas aux cheveux courts.

On se regarde sans se regarder. Nos regards se croisent, s’enfuient. Et puis, ce que j’adore dans les jacuzzis, il répond à mes appels du pied sous l’eau. Ma main caresse sa cuisse, avant de caresser autre chose, ce qui m’oblige à tendre le bras. Il fait de même. On se regarde. On se rapproche, plus facile pour tenir la bite de l’autre, et caresser ce qu’il y a à caresser. Ca dure un petit moment.

Et puis, il se lève, sort du bain, la queue en l’air. Me regarde de manière insistante, et file vers le hammam, en prenant soin de me regarder fixement , en rentrant dans le hammam. Message limpide.

Je sors à mon tour, et vais le rejoindre dans le hammam….

Il y a plus de monde que tout à l’heure. Et le spectacle est intéressant.

Il s’est assis sur un espace à mi-hauteur, dans la zone du « dieu égyptien », une jambe qui « tombe », l’autre repliée, le pied à proximité de son sexe….( à suivre)

 

mardi 30 janvier 2024

Hanté par la bite(2/4): expérience à Bruxelles

 

Suite du précédent billet: 

Tout cela s’illustre tout à fait lors de ma dernière escapade à Bruxelles …. 

Enfin, escapade, pas vraiment, j’y étais pour le boulot. J’adore cette ville, cosmopolite, européenne, où tu entends plein de langues presque inconnues à ton oreille, où il y a du bon chocolat, de bonnes frites, un côté décalé et absurde parfois des habitants, qui sont en général d’une rare gentillesse, et jamais arrogant. Et puis une architecture qui me laisse souvent pantois, entre l’ultra chargé gothique(?) de Grand Place jusqu’aux immeubles Art Deco des années 30, en passant par ces maisons à étage, en briques, avec de grandes fenêtres, derrière lesquels tu aperçois souvent des murs d’un blanc immaculé avec des décos minimalistes, qui m’attirent.

J’avais pas mal de boulot, mais pour une fois, j’étais plutôt dispo le soir, et j’ai pu me dégager deux heures en fin d’après-midi, ce qui est juste ce qu’il me faut pour aller batifoler dans mon sauna préféré de Bruxelles, « l’Oasis » (j’en ai déjà parlé ici, ici, et encore ici et ). Donc , par rapport à mon article précédent, que pensez-vous que j’ai fait ?

- je me suis couché tous les soirs à 2H du matin, alors que je devais partir le lendemain à 8H30, en alternant visites sur sites de rencontres et visionnage de petits films de cul : aucune rencontre sur les réseaux. Personne n’est dispo.

- sur les conseils de Estef je suis allé faire un tour à l’Homoerectus. Première fois que je rentre seul dans un bar gay. Ce n’est plus le lieu qu’il décrivait ici. Apparemment, déplacé à quelques mètres du site « historique » (je suis souvent passé devant par le passé, sans jamais osé y entrer). Peu de monde, pas vraiment un lieu de rencontres, plutôt un lieu gay (et c’est très bien que ca existe)

- et finalement, escapade au sauna…


Avec l’inflation, la hausse du coût de l’énergie, les prix ont beaucoup augmenté à Bruxelles (salaires et loyers sont indexés sur l’inflation). Les restaurants sont beaucoup moins abordables qu’à Paris. Quant aux saunas, le prix d’entrée est de 27 ou 28€, avec des exceptions un jour par semaine, où il baisse de 3 ou 4€. J’en connais deux : le Macho, le plus cher, qui ne m’avait pas enthousiasmé la seule fois où j’y suis allé. En revanche, l’Oasis est je pense un des saunas que je préfère (voir les liens vers mes anciens posts dans le second paragraphe de ce billet) . Il est situé dans une grand hôtel particulier, fin 19eme je dirais. On se croirait chez un collectionneur bourgeois, avec un salon très bourgeois, des moulures au plafond, de très belles photos de mec en noir et blanc, bien encadrées, des couloirs un peu labyrinthiques qui t’amène dans un beau jacuzzi, un hammam oriental, un long sauna très chaud (la température), des espaces répartis sur plusieurs niveaux, une salle coffre-fort où se trouve un sling (ca me fait marrer, ce lieu et sa nouvelle utilisation !), d’autres salons dans les caves, moins bourgeois donc, des sculptures antiques (des copies), d’autres statues en marbre (des vraies). Il y a parfois de petits courants d’air, mais globalement, c’est un bel espace où on se trouve bien. J’y suis allé le second soir (un mercredi où c’était moins cher), mais je suis arrivé trop tard, à une heure de la fermeture. A ce prix là, je me suis replié sur un cornet de frites, et ma chambre d’hôtel, avec mon écran de portable.

J’étais moins déçu quand je me suis rendu compte que je risquais d’être dispo en fin d’après-midi du lendemain. Ce qui fut le cas, et je n’ai pas regretté.

Il y avait pas mal de monde, plutôt âgé il faut dire (on va dire la cinquantaine, voire soixantaine), mais il y avait quand même aussi plus jeune…..

dimanche 28 janvier 2024

Hanté par la bite ? (1/4)

 

Je me rends compte depuis quelques temps de mon obsession des mecs en général, de leurs corps, de leurs bites plus en particulier. J’en ai parfois parlé sur ce blog. Je commence à penser que c’est devenu une réelle addiction. J’y pense quasiment en permanence. Au boulot, quand je suis avec des interlocuteurs professionnels et que l’on bosse sur des sujets qui m’ennuient. En extérieur évidemment, quand je croise de beaux mecs (ou de moins beaux), avec mon regard qui passe des yeux (c’est ce que je regarde en premier) à l’entrejambe, adorant chercher à deviner ce qui se cache là-dessous.Quand je suis seul, bien évidemment, où mon esprit dérive, stimulé il faut le dire par certains réseaux de rencontres, tels Roméo (où je perds un temps faramineux à échanger avec des plans impossibles…) ou par des sites de vidéos sexy (le mot est faible), où là aussi, je passe un temps trop important, et où parfois j’éteins à 2h du matin, alors que je dois me lever à 7H. Non, ce n’est pas très sérieux, pas très raisonnable. A mon âge en plus !! hahahaha

Je me suis rendu compte que quand je faisais des rencontres réelles, je n’avais pas ensuite besoin de perdre ce temps devant les écrans. Oui, le réel, c’est quand même vraiment mieux, on le sait tous !!! Le problème, c’est que l’effet d’une rencontre me « calme » et ne dure que 24h. Et après rebelote, me voici de nouveaux sur les écrans , réseaux et autres films de cul. Mais je ne peux pas non plus aller tous les soirs au sauna, tant que je ne trouve pas de « réguliers ». Je ne vois pas trop de solutions, quand je me retrouve seul, à part celle de m’occuper, de travailler, de faire du sport, d’être avec du monde. Mais ca n’empêchera pas mon esprit de voguer vers des pensées  « masculines ». Devrais-je aller voir un psy pour travailler sur l’addiction? Faire mon coming-out (le fait d’assumer rendrait moins obsessionnel cette recherche de l’« interdit » dû à ma situation sociale? (mais je n’en suis pas capable aujourd’hui), autres ? .

Est-ce grave docteur ?

Tout cela s’illustre tout à fait lors de ma dernière escapade à Bruxelles ….

mardi 23 janvier 2024

Alex à la belle bite

 

Je me rends compte que je ne vous raconte plus trop l’état de mes ébats masculins. Il faut dire qu’il y en a moins qu’avant. Manque de temps ? Lassitude de rencontres sans lendemains ? Baisse de libido ? Me rendre compte qu’il y a des êtres autour de moi (ma moitié) qui méritent plus d’attention de ma part, parce que c’est une personne exceptionnelle ? Sans doute un peu de tout ça. Mais malgré tout, un désir très fort, une attirance profonde pour l’Homme, qui fait que je passe beaucoup de temps à admirer des photos, dessins, peintures de beaux spécimens sur les réseaux sociaux, certains blogs ou comptes instagram ou tumblr mentionnés sur ce blog.

Et donc , parfois des passages à l’acte ! Hahhaha ….

Il y a peu de temps, je me retrouve donc célibataire quelques jours, et trouve un contact sur Roméo, correspondant à mes recherches. Je suis étonné de la réactivité de Alex , qui en moins de 15 minutes se décide à venir chez moi dans la soirée. On échange sans problèmes nos tels -précaution que je prends désormais pour éviter (dans la mesure du possible) d’éventuels lapins- .

Et je reçois assez vite un message sur WhatsApp (qui me permettra de connaître son nom…) de sa part, qui me dit qu’il avait déjà mon numéro dans son tel !?? nous avions donc dû avoir échangé dans le passé , sans pouvoir concrétiser. Cela l’a sans doute conforté dans son envie de venir, car il arrive avec 5 à 10 minutes d’avance.

Alex est plutôt beau mec, sans être non plus l’apollon sur qui tu te retournes spontanément quand tu le croises, un peu plus jeune que moi sans doute. Il fait froid, donc il arrive tout emmitouflé dans sa doudoune fourré. On boit un verre, avant de passer aux choses sérieuses, et de filer au lit. Très sensuel, il embrasse comme un dieu, je suis raide et dur comme du béton. Lui aussi. On s’effeuille progressivement (enfin, un type qui apprécie de se déshabiller en prenant son temps), se caressant nos torses respectifs avec beaucoup de douceur, et d’intérêt. Il est peu poilu, mais suffisamment pour me plaire (mais je ne crache pas sur les imberbes, loin de là!). Et je découvre peu à peu un corps bronzé, sans trace de boxer/slips, musclé et entretenu, très agréable. Et une bite, de belle taille, que je dirais parfaite : douce, longue et bien « coulissante », à la courbure harmonieuse, facile à attraper, réactive. Une bite qui vous fait vite perdre la tête.  Et  les sens. On ne se connait pas si bien!!

Que vous dire ? Que le moment fut agréable, long, détendu, sensuel. Lui qui se disait actif s’est fait caressé, embrassé, pris en charge par votre serviteur, à mon grand étonnement. Il y avait longtemps que je n’avais pas connu de moments aussi sensuels.


Je ne sais pas si on se reverra, il est aussi en couple, a répondu à mon message sur whatsapp juste après (mais je n’envoie pas de messages sur ces comptes perso), et ne me reponds pas sur les réseaux sociaux. Mais ce serait le régulier idéal pour moi !

Et il vient de me répondre sur what’s app à une proposition « malhonnête » pour demain !

PS: et c'est drôle, mais j'ai plus de mal à vous raconter les détails "croustillants", je deviens pudique avec l'âge

mardi 31 octobre 2023

IWAK 2023 # 31 FEU

 « Y a pas le feu au lac ! » . De façon un peu paradoxale par rapport à mon post d’hier, où je disais que je cours toujours partout, je suis assez peu stressé par les échéances, ou l’urgence. Sauf dans des situations de vie ou de mort (ce qui, heureusement, m’est assez peu souvent arrivé), je comprends mal celles-ceux qui stressent par rapport à des horaires (un train à prendre par exemple) ou des échéances (date limite d’envoi d’une candidature, de dépôt d’un dossier, etc.). Pourquoi faire dans la précipitation et dans l’urgence ce que tu peux faire tranquillement avant l’échéance ? Je ne suis pourtant pas excellent dans l’anticipation, mais j’ai un peu de mal à stresser dans ces situations, parce que effectivement « il n’y a pas le feu au lac » !


En revanche, il peut m’arriver d’avoir le feu au cul, ou plutôt à la bite. Et ça, ça devient une obsession, dont j’ai du mal à me défaire. Bien qu’avec l’âge, j’ai parfois l’impression qu’il y a moins d’oxygène pour animer la flamme. J’ai quand même de beaux retours de flamme, notamment cet été, en bord de mer, où j’ai croisé un type qui rentrait de la plage, où il avait dû se baigner 10 à 15 minutes avant. Son caleçon de bain, plutôt ample et large, était encore mouillé, et moulait son sexe très clairement. Rarement « vu » ou plutôt deviné un sexe aussi épais et long, a priori au repos, vu sa position basse.




Pour en savoir plus sur Inktober with a keybord (Iwak), cliquer ici. A la base il s'agit de produire un dessin ou une ébauche, une illustration, un lettrage, une calligraphie ou une typographie mais comme je ne sais dessiner qu'avec des mots, il s'agira pour moi comme pour d'autres blogueurs de publier en octobre un billet par jour sur le thème défini dans la liste. A retrouver aussi chez Matoo et Estef .

vendredi 5 août 2022

Florence

 

Non, ce n'est pas le prénom de ma bien-aimée. 

C'est juste mon Premier déplacement « européen » depuis le début du covid. Je ne sais plus voyager, je ne sais pas préparer mon déplacement, j’oublie plein de choses, je suis stressé. 

Curieux quand même, moi qui suis plutôt voyageur et aussi d’humeur vagabonde.

Et première fois à Florence : quelle ville magnifique !!

Et des statues de mecs nus à tous les coins de rues. Les femmes en pierre sont plus rares. Peut-être dans les musées, pour protéger nos regards concupiscents ? En tous les cas, mes regards concupiscents sur ces bites épaisses, mais plutôt courtes, ont réveillé mes désirs. Les italiens goûtent-ils plus les hommes que d’autres nationalités ? Je n’en sais rien, mais c’est sollicitation à tous les coins de rues ! J’adore !

Mon hôtel, choisi au hasard, est à 300 mètres du seul sauna gay de la ville. Un hasard ? Je ne sais pas.. mais quelle rage de savoir qu’il ferme à 20h, et que je ne peux y aller faire un tour !

Reprise des voyages, je produis du CO2, je consomme trop d’oxygène, mais pas ce genre masculin, qui reste pour moi comme mon oxygène intime. Un peu sur ma faim ces derniers mois.

 

PS: article écrit il y a deux mois...je publie quand même, histoire de reprendre l'habitude... et rajouterai une photo plus tard

jeudi 19 août 2021

Désir ?

Dans la chambre claire,

Face à mon vit raide et rouge,

Ton désir absent.

samedi 14 août 2021

Tige de parking

 Arrêt pour se dégourdir les jambes. Les filles sortent, je reste dans la voiture, dormaillant . 

Une voiture se gare à côté. Deux jeunes de 25/30 ans. Mignons. Eux aussi vont sans doute se dégourdir les jambes, boire un café ou fumer une clope. L un ouvre la porte de mon côté et sort. Je devine alors sous son jean une tige énorme. Apparemment au repos. Ou trique du matin? Je ne saurais jamais. 

Je ne sais pas si c’est la chaleur de l été, ou le manque, mais je continue à être omnibulé par les entrejambes, et à imaginer ce que cachent les maillots de bain ou les pantalons…. 

mercredi 23 septembre 2020

Docteur Vouleau et ma petite bite

Je ne sais pas pourquoi, mais cet été, m’est revenu l’image du pédiatre qui me suivait quand j’étais petit… le docteur Voulot ! c’était ce genre de médecin notable, d’un certain age, toujours bien sapé. Il avait la particularité de boiter, car victime par le passé de la polio. Ca m’impressionnait toujours un peu. De même que sa grosse voix. Et il avait un aspect rigide, raide, qui fait que aujourd’hui, je me demande si il n’avait pas été médecin militaire. Ma mère l’adorait. Sans doute ce côté notable, rigide, qui sait où il va, avec une certaine admiration pour ce qu’il avait dû endurer et le courage dont il avait fait preuve face à la maladie, etc, etc.      

Moi, il m’a fait des vaccins, et j’aimais pas ca. Il avait un humour que je ne comprenais pas non plus ! Mais ce dont je me souviens très bien, c’est qu’il avait décalotté ma petite bite de gamin.. Quel age j’avais ? Aucune idée ! Et ce n’est pas marqué dans mon carnet médical (je l’ai toujours!). Est-ce que ca m’avait fait mal ? Aucune souvenir ! En tous les cas, c’était la première fois qu’on me touchait ainsi le sexe (et je ne l’ai pas oublié!), et il faudra que j’attende une bonne dizaine d’années au moins, avant qu’une autre main, plus attentionnée et délicate, vienne y chercher son(et mon) bonheur…

Je pense savoir pourquoi tout ça m’est revenu. Non circoncis, il m’arrive de me trouver « à l’étroit » dans mon sexe en érection. D’avoir une légère gène, pas une douleur, mais ca pourrait si ca empirait. Sans doute un très léger phimosis. Qui, pourtant, ne m’a jamais gêné avec les femmes. Mais plus avec les hommes. En fait, les hommes sont souvent plus habiles à tirer des pipes, car je suppose ils savent mieux qu’une femme ce qui fait plaisir à leurs congénères sur ce plan là, mais en revanche, ils ne savent pas toujours s’occuper avec la main de la bite d’un mec. C’est souvent pressé, rapide, trop violent, sans respect de la montée du désir, de l’apparition de ce petit liquide qui va faire que tout ca glisse tout seul.

Ca m’a préoccupé cet été, cette histoire. Notamment avec mon retour dans les saunas, où ma bite a rencontré quelques poignées de main par trop vigoureuses ! Je me suis posé des questions, jusqu’à me dire que je devrais me faire circoncire. Mais à mon grand âge, est-ce bien raisonnable ? Je me suis donc renseigné sur les sites internet, et ai découvert des trucs marrants. En gros, il faut se découvrir régulièrement, sous la douce chaude, en glissant un, puis deux doigts entre le gland et la peau du prépuce, ceci afin d’étirer la peau pour laisser le passage plus facile. C’est marrant, et très agréable aussi, évidemment. J’ai ainsi redécouvert un certain plaisir que j’avais mis de côté ces derniers mois, celui de la bonne vieille masturbation sous la douche entre autres. J’ai aussi redécouvert la beauté de mon sexe en érection, de ce gland brillant quand il est découvert, de la raideur de la tige, dès lors que le gland est découvert. Et que quand un partenaire sait apprécier ces choses-là, il sait s’en occuper comme il faut, avec toute la délicatesse nécessaire au début, et toute l’habileté indispensable pour le succès de la suite des opérations.

Parfois, le bonheur est si simple, et vraiment à portée de mains !

 PS: je me demande pourquoi j'écris tout ça, à dévoiler ainsi mon intimité. Je m'étonne de mon impudeur. Je vais devoir bientôt changer le titre du blog..."Arthur Montignac, sa vie, sa bite", ou un truc du genre?

mercredi 23 octobre 2019

Sans queue, ni tête (7)

Sans queues ni tetes, mais ca va traiter de queues ou de tetes. Du moins de celles que je n’ai pu touchées comme j’aurais voulu.

**L’autre week-end , je participe à un événement associatif pour lequel ma moitié a été sollicité. C’est un dimanche après-midi. Je l’accompagne. Derrière une table, je remarque un mec, de type asiatique. Rien de plus. Je déambule et passe devant lui. Il en profite, je suis seul : «  tu vois, je te l’avais dit, ici, c’est un village, on se retrouve. Qu’est-ce que tu fais ici ? ». Et là, j’ai un éclair. Il est venu chez moi il y a un mois, quand j’étais célibataire. Très bon moment de sensualité et de joli érotisme. Mais voilà, j’avais déjà oublié son visage. Je me sens confus pour lui. Et puis je me pose une question : serais-je capable de reconnaître les mecs avec qui j’ai partagé un moment intime ? Je me rends compte que je suis assez incapable de m’en souvenir. Bon, au moins, si je les croise, je ne ferais pas de gaffes envers eux, puisque je ne les reconnaîtrais vraiment pas. Je pense quand même que je pourrais reconnaître Alvaro et , dont j’ai perdu les coordonnées…

** l’autre matin, en ouvrant mon tel, tous mes contacts ont disparu. Ils ne sont même pas sur le cloud. Volatilisés !! la hot line de la pomme n’y comprends rien. Il faut que je passe les voir. En attendant, j’ai perdu certains tel qui me sont importants, de type avec qui j’ai pu échanger ou partager de bons moments. Certains copains bloggeurs m’ont renvoyés leur tel. Mais Alvaro, machin ? Disparu !!!! deux solutions : soit je les rencontre de nouveau au sauna de Paris, comme cela m’est arrivé avec serge le coiffeur (dont j’ai aussi oublié le tel, mais que je n’avais pas reconnu et lui non plus). Soit ils me recontactent d’eux-mêmes (mais je n’y crois pas, je leur ai demandé de la discrétion). Dommage dommage. (Bon, vu que j’ai retrouvé Alvaro sur le net, je pourrais le contacter sur son adresse pro, mais c’est un peu risqué quand même!). Donc, si tu me lis, et que tu penses que j’ai perdu ton tel, n’hésite pas à me le renvoyer accompagné d’un message neutre, et de ton nom….

** si j’ai oublié les visages, ai-je oublié les queues, certaines m’ont laissé un souvenir, d’autres non. En même temps, je risque pas grand-chose à les avoir oublié, je doute que nos queues se retrouvent aussi facilement au milieu d’une foule…

** j’ai récemment été en Allemagne pour le boulot. Dans une très grande ville. Impressionné par les bières. Et la capacité des mecs à boire des litres de bières ! (un demi-litre pour moi me suffit amplement!). Et donc d’avoir des vessies résistantes. Les mecs mettent des plombent quand ils vont pisser. Bonne occasion pour mater, même si je ne fais pas trop. En tous les cas, j’ai pu constater que pisser pendant 4 minutes montre en main, c’était possible, quand moi je vidais mon litre de bière en plus d’une minute sans doute. Donc la vessie des mecs en Allemagne peut contenir jusqu’à combien de litres ? 2 l ? 3l ? 4l ?
Et pour cause de rythme de boulot un peu trop chargé, j’ai raté un sauna qui a l’air mythique. Ca me fait des choses à faire pour la prochaine fois, si il y a une prochaine fois !

** Julien Green(à ne pas confondre avec Graham Greene, le troisième homme - ca pourrait etre le titre d’un roman homo !- ): ces mémoires expurgées sont publiées dans la collection Bouquins. Pas lu, mais apparemment, c’est très cru et sex. Il aurait été pédébloggeur si il avait vécu à notre époque ! Ca crée aussi une mini polémique : fallait-il publier ou non ? Peut-etre que plusieurs années après ma mort, on retrouvera mon blog, mon identité et on publiera aussi (quoique c’est déjà public) ? Que faire de nos écrits intimes que l’on écrit quand même, partage un peu, mais dont on reste discret sur l’auteur (mon cas) ? On les laisse sur les blogs , au gré du vent d’internet….

lundi 23 septembre 2019

Homme respectable dans une demeure en pierre

Son attitude avait éveillé mes sens. Je le trouvais très prévenant, voir collant. Il était grand, bien de sa personne, et je n’étais pas insensible au charme qui se dégageait de lui. Mais il mettait aussi une certaine distance. 

Nous sommes rentrés dans cette petite salle du château (mais était-ce un château, en fait ? En tous les cas, une demeure ancienne, peut-être même une ancienne église) à la décoration baroque, avec des boiseries dorées (une référence à mon premier homme qui m’a offert il y a peu un morceau de moulure en bois doré à la feuille). Il avait des gestes vers moi, sans jamais me toucher. Des regards insistants, mais qui soudain portaient au loin. 

Il avait trouvé quelque chose par terre. Il s’agenouillait alors, dans un coin plus sombre de la pièce, s’exclamant sur sa découverte. Je m’approchais alors pour voir également, m’agenouillant à ses côtés. Nos regards se croisent, mais il ne réagis pas plus que ça. Moi en fait, je sens mon bâton durcir. Je ne tiens plus trop. Je m’approche pour l’embrasser, ce que j’ai jamais fait avec une personne ainsi « respectable » qui pourrait être en lien avec ma vie professionnelle. Il se laisse embrasser doucement, puis devient fougueux. Nous nous relevons, nos lèvres collées, nos langues entremêlées. Je suis totalement raide d’excitation, et je me rends compte que lui aussi. 

Et puis, je me réveille. Il est 4H18 du matin. En totale érection. Toujours quand on rêve. Encore plus certainement quand c’est un rêve érotique.
Je me rendors, mais en me levant ce matin le rêve est encore dans mon esprit. Pourtant, les rêves de milieu de nuit, j’ai tendance à les oublier.

mercredi 12 juin 2019

Trucs de cycliste

Je rêve, ou vous voyez ce que je vois ?
Ces trucs de cycliste sont assez impressionnants...quand je dis truc, je parle de ces combinaisons hyper moulantes, pas du truc à l’intérieur….quoique....



 

A seulement 22 ans, David Gaudu continue d’impressionner. Sur le Tour de Romandie, le cycliste breton a réalisé une très belle semaine, marquée par sa première victoire d’étape en World Tour et une cinquième place au classement général. Sur les routes suisses, le grimpeur de Groupama-FDJ a fait jeu égal avec les favoris, le Slovène Primoz Roglic et le Britannique Geraint Thomas, s’offrant même le luxe de les laisser sur place dans le final de l’étape de vendredi, une petite montée sèche qui rappelait l’arrivée de la Flèche wallonne.
(Photo Le Monde)