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vendredi 1 septembre 2023

Rêve de curé et...Kundera

 

J’aurais dû écrire tout de suite. Cela fait quelques jours que j’ai fait ce curieux rêve, où j’étais devenu curé. C’est devenu un peu brumeux, mais en gros, j’étais avec un groupe d’hommes, de curés, qui m’avaient demandé si je voulais bien… être curé. J’avais réfléchi un moment, et puis j’avais dit oui, un peu comme à un mariage. Et avec toute la bande, on était hyper content, comme si on avait joué un bon coup à je-ne-sais-qui, fait une bonne blague. Et on rigolait , on rigolait.. On était tous habillés en blanc, pas ces robes noires de curés tristes, non, plutôt ces robes écrues, de curés qui œuvrent sous les tropiques, de missionnaires, quoi…

En me réveillant, j’étais un peu affolé d’être devenu curé. Il faut dire que les rêves me font souvent forte impression, et en me réveillant, je pense que c’est réel. Mais je me disais que j’étais un peu léger d’avoir dit oui aussi vite… et puis, j’ai repris mes esprits.

En écrivant ce soir, je ne sais trop que en penser. Peut-être que parfois je dis un peu trop vite oui pour la position du missionnaire?(c’est un peu facile, je vous l’accorde!). Ou alors que j’ai un désir caché pour les missionnaires ? Ou pour être curé ? On en découvre des choses en avançant en âge !


Kundera : j’avais relevé quelque part dans ce blog (mais je en retrouve pas)  que Kundera mentionnait que quand l'homme rêve, il est en érection. Je l’ai vérifié tout l’été. Je me rassurais le matin , ou au milieu de la nuit, à toucher mon bâton raide et dur. Avec les curés aussi. Ce sera mon hommage à Kundera (même s'il mérite mieux quand même, j’adore cet auteur!)

jeudi 3 février 2022

Nocturnes

Il y a eu deux moments:

Le premier, j'étais allongé, au milieu de plusieurs corps, endormis, nus, masculins... c'était la pénombre... En changeant de côté, ma bouche s'est retrouvé devant son sexe, qui avait une forme un peu différente que celle que je lui connaissais: large à la base, fine à son extrémité, comme une espèce de pyramide. C'est quand même curieux d'avoir une bite en forme de pyramide, même un peu allongée, non? 

et puis, je ne me souviens plus, sauf que il me restait un sentiment de "pas terminé", une certaine frustration peut-être? je ne sais pas...en tous les cas, mes attentes n'avaient pas été satisfaites..

Plus tard, c'est avec F.. que je me retrouvais. On était à poil, allongés dans la pénombre. Ma moitié dormait à l'autre bout de la chambre. Comment on en était arrivé à cette situation, impossible de me souvenir, mais être tous les deux couchés sur un même lit, côté à côte , à poil, à quelques mètres de ma moitié, c'était franchement inhabituel. Voire totalement inimaginable! Je bougeais un peu, il ne dormait pas. Je me suis alors rapproché de son long sexe, que je n'avais pas touché depuis la fin de notre adolescence. C'était curieux comme sensation. 

Et de nouveau, je me réveille. En vrai. Je n'avais pas rêvé de lui depuis des années, même si je le revois maintenant beaucoup plus souvent, mais que l'on n'a jamais reparlé de nos ébats de cette période. J'ai même l'impression parfois qu'il les a totalement occultés, effacés de sa mémoire. Je n'ose pas lui en parler. Pour l'instant, pour moi, ca occupe mon sommeil. C'est plutôt agréable.

lundi 23 septembre 2019

Homme respectable dans une demeure en pierre

Son attitude avait éveillé mes sens. Je le trouvais très prévenant, voir collant. Il était grand, bien de sa personne, et je n’étais pas insensible au charme qui se dégageait de lui. Mais il mettait aussi une certaine distance. 

Nous sommes rentrés dans cette petite salle du château (mais était-ce un château, en fait ? En tous les cas, une demeure ancienne, peut-être même une ancienne église) à la décoration baroque, avec des boiseries dorées (une référence à mon premier homme qui m’a offert il y a peu un morceau de moulure en bois doré à la feuille). Il avait des gestes vers moi, sans jamais me toucher. Des regards insistants, mais qui soudain portaient au loin. 

Il avait trouvé quelque chose par terre. Il s’agenouillait alors, dans un coin plus sombre de la pièce, s’exclamant sur sa découverte. Je m’approchais alors pour voir également, m’agenouillant à ses côtés. Nos regards se croisent, mais il ne réagis pas plus que ça. Moi en fait, je sens mon bâton durcir. Je ne tiens plus trop. Je m’approche pour l’embrasser, ce que j’ai jamais fait avec une personne ainsi « respectable » qui pourrait être en lien avec ma vie professionnelle. Il se laisse embrasser doucement, puis devient fougueux. Nous nous relevons, nos lèvres collées, nos langues entremêlées. Je suis totalement raide d’excitation, et je me rends compte que lui aussi. 

Et puis, je me réveille. Il est 4H18 du matin. En totale érection. Toujours quand on rêve. Encore plus certainement quand c’est un rêve érotique.
Je me rendors, mais en me levant ce matin le rêve est encore dans mon esprit. Pourtant, les rêves de milieu de nuit, j’ai tendance à les oublier.

jeudi 5 septembre 2019

Un soleil dans la nuit

On était assis autour d’une table. Il y avait un peu de monde.
Et il était là, comme l’après-midi de la semaine dernière où on avait fait connaissance autour d’une bière, le hasard des tables nous ayant placé côte à côte. Il était toujours aussi lumineux, souriant et enthousiaste. Regard de lumière. Totalement solaire. Oui, un être solaire. Latino-américain, étudiant de 20 ans qui n’hésitait pas à remettre en cause ses choix, il était passé en quelques mois de l’étude des mathématiques pures à la peinture et aux beaux-arts (qui c’est vrai semblaient mieux lui correspondre).
Et là, on se retrouvait encore autour d’une table. Il était assis à côté de moi, et parlait avec passion à celui qui était en face de lui. J’observais. Quand tout d’un coup, je sens quelque chose qui me pique les jambes ; en fait, c’est lui qui me titille les cuisses, discrètement mais sûrement.
Nos regards se croisent. Silencieux, mais compréhensifs.
Je lui dis quand même : « mais tu as tout compris, alors ? ».
« Bien sûr », me réponds il. « Et tu es trop attirant pour que je ne fasse pas un signe. Tu le mérites, et je sais que tu n’oseras pas faire le premier geste vers quelqu’un de mon age. »
Je reste interloqué de tant de lucidité. Et puis :
«  mais aujourd’hui, je m’attaque à celui qui se trouve en face. On se retrouve plus tard ? »
et il me laisse là, témoin de son numéro de charme sur l’autre, numéro dont j’ai déjà été victime.

C’est alors que je me réveille.
Et que je sens encore la sensation de ses doigts sur mes cuisses. Que son sourire lumineux est encore sur moi.
Et je suis pourtant seul dans mon lit.
A repenser à ce jeune Gustavo, effectivement rencontré par hasard la veille, et qui nous avait tellement charmé.



vendredi 10 août 2018

Rêve ?

Une plage déserte, sur une île grecque.
C est l’été, il fait chaud.
La mer est limpide, transparente, cristalline et fraîche .
On est deux.
Nus sur le sable chaud, à l’ombre d’un tamarin.
Evidemment, il est très désirable, la peau salée, cuivrée par le soleil. Il est bien fait, sans ventre , musculature de nageur ou de danseur.
On est seul au monde.
On a le temps devant nous.
On discute, se caresse, s’embrasse, on baise si l’envie nous vient. On rigole. On mange. On nage. On est bien.

Tranquille, à goûter l’air du temp, dans la fraîcheur de la brise marine, malgré la chaleur du soleil.


C est un rêve, que je ne pourrais , je pense, jamais réaliser.
Ce n’est pas si grave, ma réalité est plus que satisfaisante, elle est heureuse et sereine également.
Mais j'aimerais bien vivre un tel moment.

vendredi 4 novembre 2016

De l'influence d'un numéro de "Photo" sur le nu masculin

Afficher l'image d'origineJe ne sais pas pourquoi, mais il m'est revenu ces derniers jours en mémoire, ce numéro du magazine "Photo", que j'avais découvert dans la chambre de mon frère ainé. Je devais avoir une quinzaine d'année. Sans doute mon frère l'avait-il acheté depuis quelques temps, et planqué. Il y avait d'ailleurs plusieurs numéros. Et "Photo" restait toujours intéressant, car il y avait toujours (ou souvent, je ne sais plus) des photos de femmes nues. Pour l'adolescent que j'étais, avec mes copains, c'était plutôt intéressant. Source de plein de découvertes.
Mais dans ce numéro, je ne sais plus si il y avait des femmes nues . Sans doute, vu la couverture. 
En revanche, il y avait des hommes. Et si certains n'étaient pas nus, les photos mettaient en relief leurs anatomies. Il y avait, je me souviens, des photos de Noureev, en collant , répétant à la barre (sans jeu de mots, svp). Et il y avait des photos d'hommes nus, des artistes, plutôt des musiciens , avec leur instrument. Je me souviens d'un violoncelliste, assis, nu, avec son violoncelle à la main. Il y avait aussi un chanteur d'opéra français connu, impossible de me souvenir le nom..
Je me souviens aussi de ce bel homme, musclé, la peau mat je pense, légèrement poilu, la tête baissée, avec une légende qui disait "après l'amour". Je ne sais plus si le photographe était un homme ou une femme. Cette photo m'avait beaucoup impressionné, attiré. Plus tard, après avoir eu ma première expérience avec un homme, j'y suis souvent retourné, à ce fameux numéro. Toujours attiré par ces photos qui me faisaient bander. Et le peu de photos, comparé à ce que l'on peut trouver aujourd'hui, me créait un manque, que je souhaitais combler. Mais j'ai mis du temps à le combler!!
Finalement, cette photo ne désigne-t-elle pas le modèle de corps masculin que je recherche?

Je me demande où peut se trouver ce numéro de Photo, que j'avais piqué à mon frère, fait disparaitre dans mes affaires, et que j'ai conservé très longtemps. Mais aujourd'hui, impossible de me souvenir si il a été jeté, ou si je l'ai planqué quelque part, au milieu de mes bouquins.

samedi 1 octobre 2016

Moment bleu

C'était il y a quatre ou cinq mois. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais avec Dyonisos. En ballade dans une ville du sud, très méditerranéenne. 
Il fait chaud. 
Devant nous, une grande bâtisse, comme une église, prolongée par un bâtiment en longueur. Toujours dans ce style mi-espagnol, mi-marocain, avec des tuiles canal, des fenêtres grandes, fermées de longs volets pour ne pas laisser entrer la chaleur. 
Il doit être 18h, il fait chaud, mais on sent que la température va baisser. Dyonisos veut absolument connaitre la température du moment. Je luis dis 26°, il pense que c'est deux de moins. Il rentre dans cette bâtisse, qui se trouve être un hôtel, ou un gite de charme. Il a été plus vite que moi, je rentre et il a déjà disparu. L'intérieur est très chaleureux: déco très sobre, de "bon goût", qui invite au repos et à la rêverie. Il est monté aux étages. Je le rejoins, avec les bières fraiches qu'on a acheté auparavant, sur la place proche, et où on a manqué se faire écraser. D'en haut, il y a une très belle vue sur de beaux jardins fournis, verts et fleuris. On se dit qu'on pourrait rester. La pièce où nous sommes entrés est spacieuse, de murs blancs, avec un grand lit recouvert juste d'un drap au milieu, qui appelle à....

Une fenêtre, je penche la tête. 

tatouage poisson: carpeJe vois en contrebas un magnifique bassin, assez grand pour faire office de piscine, avec une eau très claire. Y nagent deux poissons. 
Avec de grands voiles, styles poissons chinois ou japonais, je ne sais. Ils sont d'un bleu turquoise profond. 
Je les vois très nettement, et appelle Dyonisos pour les lui montrer.

Et je ne sais ce qui se passe, mais mon sommeil est interrompu, et je ne saurais donc jamais si je terminerais la journée dans le lit avec Dyonisos à contempler les poissons bleus....ou autre chose. Mais ces poissons bleus sont encore dans ma tête. Et Dyonisos également qui apparait parfois dans mon sommeil.

samedi 20 février 2016

Charme d'un gazouillis professionnel

Il venait pour le boulot, accompagnée d'une collègue. 

En fait, c'était plutôt elle, la chef, qui venait accompagnée de lui, spécialiste expert-consultant. J'étais parti les accueillir à la gare, la moindre des choses quand même. Comme souvent, je suis arrivé en retard. Elle m'attendait, et quand je lui demandais où était son comparse, il arrivait à ce moment des toilettes. Il ne m'a pas fait grande impression à ce moment, mais il dégageait quand même un certain charme. Par ce qui est devenu un automatisme, j'essayais de deviner (on ne sait jamais!), sans succès, la bosse du pantalon. 
Nous avions une bonne heure de route. La discussion en voiture était très sympa, décontractée. On a vite parlé de leur pays, de leur ville, et puis de leur mission de deux jours ici, et pour laquelle j'avais préparé un programme assez chargé. On n'aura pas le temps de se marrer, tout juste celui de siroter une bière.

Je le découvrais pendant les deux jours. Il était un véritable expert de son domaine. Il menait tout le monde où il voulait par la force de son discours, par sa passion, par son enthousiasme. J'adore les personnes de ce genre. On a envie de tout faire pour eux, avec eux. Il vous emporte. C'est ça, le charisme! 
Afficher l'image d'origineEt je suis vite tombé sous le charme. Il était plutôt bien sappé, même si assez simplement, les cheveux coupés d'assez près, un regard lumineux et déterminé, bienveillant aussi. J'essayais d'en savoir plus sur sa vie perso, avait-il quelqu'un, des enfants? impossible de passer dans la conversation, ne serait-ce qu'une allusion. En tous les cas, pas de bagues au doigt. Mais finalement, qu'est-ce que ça veut dire? j'en ai bien une, et cç ne m'empêche pas de regarder les hommes, de faire des rencontres.

Dès la première nuit, il avait pris possession de mes rêves. 

Le lendemain matin passât à toute vitesse. On n'eût même pas le temps de déjeuner, je les raccompagnais à la gare. Leur mission s'était très bien passé. J'avais senti pendant ce court séjour une véritable complicité entre nous deux.
Le temps des "au revoir" à la gare. On se fait la bise avec elle. Je me tourne vers lui, j'ai envie de l'embrasser aussi. En tout bien tout honneur,  quand même. J'ai envie de le prendre dans mes bras, je tente une accolade, à l'espagnol ou à la mexicaine. 
Et là, je sens un étonnement soudain, une surprise dans le regard, un éclair de sourire, une certaine gène, puis une forme immédiate de résistance. J'ai compris, je n'insiste pas. Il me tends la main, mettant ainsi cette distance, que Estef dit marquer également dans un contexte professionnel. 

Je vais le revoir dans le cadre de mon boulot. Je ne sais pas quand. 
Pour l'instant, je le suis sur Tweeter. Et il "like" mes tweets. 
Un rien me ravit.
J'aimerais quand même bien gazouiller avec lui prochainement.

lundi 3 août 2015

Priape de Milet

Je viens de découvrir un blog , the priapus of Milet que je trouve assez fascinant, à mi-chemin entre la BD et le dessin animé, très orienté mythologie,  mecs musclés, qui aime la bite....Ad Fundum (l'image) est assez bluffant: on ne sait plus si c'est un rêve ou un cauchemar. Plutôt un cauchemar pour moi en fait, trop de bites tuent la bite, mais c'est assez envoutant , je trouve.

J'aime bien Narcisse, moins cauchemardesque:








Pas encore tout regardé, mais je vous le recommande.