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mercredi 22 mai 2024

Cheval blanc sur canapé

J'étais arrivé dans cette très grande maison, genre château19eme siècle, avec façades un peu austères, entourées de briques. Enfin, j'imaginais l'extérieur comme cela, mais étant arrivé de nuit, je ne l'avais pas vraiment vu. Mais l'intérieur correspondait à l'image que je me faisais de ce type de bâtisse. Je suivais mon hôte, dans ces pièces en enfilade, faiblement éclairées par quelques lampes (ou bougies?) disséminées par-ci par là. 

Nous sommes arrivés dans un petit salon , et au milieu trônait un canapé. Était allongé dessus un cheval blanc en peluche, grandeur nature. Mais non, il n'était pas en peluche!! c'était un vrai cheval, qui nous regardait avec beaucoup d'affection. Derrière lui, il y avait un homme, plutôt bien fait, mais dont émanait un truc bizarre, qui ressemblait un peu au marin musclé des pubs de parfum Jean-Paul Gaultier. Il était moins séduisant que le type de la pub, mais en tous les cas très excité!! il m'a littéralement sauté dessus en me demandant direct de coucher avec lui. Son attitude, sa posture ne m'attirait pas. Je déclinais poliment, et il n'a pas insisté. 

Nous avons continué à déambuler dans cette grande maison. Je ne sais pas comment, mais je me suis retrouvé devant Matoo (oui, le fameux blogger), qui depuis le debut était mon guide dans cette maison, je ne l'avais pas précisé. La pièce où l'on se trouvait était plus sombre que les autres. Je n'étais pas trop rassuré dans cette pièce, je ne sais pas pourquoi. Matoo était donc derrière moi, il était en short, et je me suis mis à caresser nerveusement ses jambes, qui étaient donc découvertes. C'était plutôt agréable....

Je ne sais pas ce qu'il en pensait, car là, je me suis réveillé, et suis sorti de mon rêve. 

Je restais très perplexe sur ce rêve, notamment sur le cheval blanc qui trônait dans le canapé, telle une image sortie du monde d'Alice au Pays des Merveilles (je ne sais pas si il y a un cheval blanc, mais ca me faisait penser à cet univers). Et très perplexe sur la présence de Matoo, qui n'est jamais apparu dans mes rêves, et dont je caressais les jambes...

lundi 2 octobre 2023

Iwak 2023 #1 rêve

 

Merci à Matoo et à Estef, qui me rappelle Inktober! 

Je vais essayer de relever le defi! 

Comme l'écrit Estef, "A la base il s'agit de produire un dessin ou une ébauche, une illustration, un lettrage, une calligraphie ou une typographie mais comme je ne sais dessiner qu'avec des mots, il s'agira pour moi comme pour d'autres blogueurs de publier un billet par jour sur le thème défini dans la liste". "Pour en savoir plus sur cet évènement international, cliquer ici."

Bon, je suis déjà en retard. Mais je me lance. J'arriverais peut-être à écrire "Araignées" ce soir, c'est le mot du 2 octobre!!

Alors, Rêve!

J’adore rêver.

Parfois, je note mes rêves, car ils m’impressionnent, et me laissent une très forte impression au réveil. J’en ai relaté quelques uns sur ce blog, parce qu’ils m’avaient laissé une profonde impression, telle que en me réveillant, je prenais mon rêve pour une réalité. Ca dure peu de temps. En quelques secondes, la réalité réapparaît, le rêve s’estompe, et parfois disparaît complètement de ma mémoire. Et il ne reste qu’une impression. De bien -être général. Bon, ici, je parle surtout de rêves érotiques, où je me retrouve avec de beaux hommes, dans des situations très sexe. Et très agréables.

Je fais aussi d’autres rêves. Plus communs, dira-t-on. Mais qui me reste marqué profondément. Comme celui-ci où je recevais un coup de poignard dans le dos, et où il me semblait que je passais l’arme à gauche. La grand-mère d’un copain grec , qui interprète les rêves, m’a alors assuré que c’était très bon, que le coup de poignard, c’était de l’énergie que j’allais trouver très bientôt, et que le fait de mourir était aussi bon signe, car signe de vie. J’apprenais ainsi qu’il faut systématiquement interpréter le contraire de ce que l’on voit.

Et puis, comme dit parait-il Freud, seul le rêveur peut interpréter son rêve. Quand quelqu’un te raconte son rêve, tu dois lui poser la question « et pour toi, tu interprètes comment ? Ca correspond à quoi ? » . J’ai un copain qui refuse de raconter ses rêves, il trouve ca trop intime, et a trop peur qu’on décèle des éléments de sa vie intime (ou non intime d’ailleurs).

En ce moment, j’oublie mes rêves le matin. Pas grave.

Tous les soirs, je m’endors en voulant orienter mes rêves. Devinez à quoi je pense en m’endormant, en essayant d’influer sur le contenu de mes rêves ?

lundi 23 novembre 2020

On était dans un grand parc


On était dans un grand parc. Il devait être midi ou début d’après-midi, car le soleil était fort. Il y avait Jérôme, une femme d’un certain age que je ne connaissais pas, sans doute une guide, et moi. J’avais senti dès notre première rencontre un »truc » avec Jérôme. Le courant était passé très vite, tu sais, cette espèce de complicité qui arrive tout de suite, où tu n’as pas besoin d’expliquer quoi que ce soit, où on se comprends tout de suite, on a les mêmes codes, les mêmes réactions au monde. Ca ne veut pas dire pour autant que c’est le « gaydar » qui se met en marche, non. Juste une connivence d’abord intellectuelle, et surtout immédiate. Et parfois, il peut y avoir plus.

Je ne sais pas ce qui s’était passé avant, mais on était là, dans ce magnifique parc. Nous marchions côté à côte, et Jerome m’enlaçait, ses deux bras autour de mes épaules. Il faisait chaud, et il n’hésitait pas à passer ses mains sous ma chemise. L’effet était assez immédiat je dois dire. On était prêt à s’embrasser, mais la vieille guide nous gênait un peu. Elle n’avait pas l’air pourtant choqué par le spectacle de ces deux hommes en couple. Elle souriait du coin de la bouche, d’ailleurs, avec un air complice et coquin.

Et puis, on est arrivé sur ce lieu magique : un grand espace carré , avec de grandes fontaines qui dégringolait des quatre coins, les eaux se retrouvant en contrebas dans un bassin carré. C’était de style assez classique, bien ordonné. Les chutes d’eau étaient bien canalisées. Et l’eau sortaient de quatre sculptures en cuivre, avec ce cuivre oxydées par l’eau , de couleur verdâtre, mais qui avec la lumière de cette journée, avait des reflets émeraude magnifiques.

Je fus saisis d’admiration. Et Jerome me disait : « mais je savais bien que ca te plairait. Mais comment tu ne connaissais pas ? ». Et moi de lui répondre : «  mais je ne connais rien à la Roumanie, c’est la première fois que je viens !. Une chance que tu y sois aussi ».

Puis la guide disparut, et nous nous retrouvâmes dans un grand bâtiment, tout en verre, style « Grand Palais » à Paris. Nous étions seuls, et nous avons commencé à aller plus loin dans nos échanges corporels. Quand….


Mon réveil fut difficile. Mon sexe était dressé et dur comme de l’ébène. Je gardais à l’esprit l’image de Jérôme, en train de me caresser, ce collègue indirect de travail, avec qui j’ai effectivement une certaine complicité, même si on a dû se rencontrer trois fois dans notre vie. Mais avec toujours autant de connivence.

Je ne sais pas si Jérôme a déjà mis les pieds en Roumanie (ben oui, il n'est pas roumain!). En tous les cas, moi, jamais. 

Et en relisant, je me dis que le confinement doit expliquer ce rêve, où tout est interdit par le confinement:  se balader dans les parcs sans masques, de voyager en Roumanie,  de rencontrer Jerome qui travaille à plus de 1000 km de chez moi, de rencontrer un mec (quoique...)

ArtSpecialUNESCO - Villa d'Este a Tivoli


lundi 23 septembre 2019

Homme respectable dans une demeure en pierre

Son attitude avait éveillé mes sens. Je le trouvais très prévenant, voir collant. Il était grand, bien de sa personne, et je n’étais pas insensible au charme qui se dégageait de lui. Mais il mettait aussi une certaine distance. 

Nous sommes rentrés dans cette petite salle du château (mais était-ce un château, en fait ? En tous les cas, une demeure ancienne, peut-être même une ancienne église) à la décoration baroque, avec des boiseries dorées (une référence à mon premier homme qui m’a offert il y a peu un morceau de moulure en bois doré à la feuille). Il avait des gestes vers moi, sans jamais me toucher. Des regards insistants, mais qui soudain portaient au loin. 

Il avait trouvé quelque chose par terre. Il s’agenouillait alors, dans un coin plus sombre de la pièce, s’exclamant sur sa découverte. Je m’approchais alors pour voir également, m’agenouillant à ses côtés. Nos regards se croisent, mais il ne réagis pas plus que ça. Moi en fait, je sens mon bâton durcir. Je ne tiens plus trop. Je m’approche pour l’embrasser, ce que j’ai jamais fait avec une personne ainsi « respectable » qui pourrait être en lien avec ma vie professionnelle. Il se laisse embrasser doucement, puis devient fougueux. Nous nous relevons, nos lèvres collées, nos langues entremêlées. Je suis totalement raide d’excitation, et je me rends compte que lui aussi. 

Et puis, je me réveille. Il est 4H18 du matin. En totale érection. Toujours quand on rêve. Encore plus certainement quand c’est un rêve érotique.
Je me rendors, mais en me levant ce matin le rêve est encore dans mon esprit. Pourtant, les rêves de milieu de nuit, j’ai tendance à les oublier.

jeudi 5 septembre 2019

Un soleil dans la nuit

On était assis autour d’une table. Il y avait un peu de monde.
Et il était là, comme l’après-midi de la semaine dernière où on avait fait connaissance autour d’une bière, le hasard des tables nous ayant placé côte à côte. Il était toujours aussi lumineux, souriant et enthousiaste. Regard de lumière. Totalement solaire. Oui, un être solaire. Latino-américain, étudiant de 20 ans qui n’hésitait pas à remettre en cause ses choix, il était passé en quelques mois de l’étude des mathématiques pures à la peinture et aux beaux-arts (qui c’est vrai semblaient mieux lui correspondre).
Et là, on se retrouvait encore autour d’une table. Il était assis à côté de moi, et parlait avec passion à celui qui était en face de lui. J’observais. Quand tout d’un coup, je sens quelque chose qui me pique les jambes ; en fait, c’est lui qui me titille les cuisses, discrètement mais sûrement.
Nos regards se croisent. Silencieux, mais compréhensifs.
Je lui dis quand même : « mais tu as tout compris, alors ? ».
« Bien sûr », me réponds il. « Et tu es trop attirant pour que je ne fasse pas un signe. Tu le mérites, et je sais que tu n’oseras pas faire le premier geste vers quelqu’un de mon age. »
Je reste interloqué de tant de lucidité. Et puis :
«  mais aujourd’hui, je m’attaque à celui qui se trouve en face. On se retrouve plus tard ? »
et il me laisse là, témoin de son numéro de charme sur l’autre, numéro dont j’ai déjà été victime.

C’est alors que je me réveille.
Et que je sens encore la sensation de ses doigts sur mes cuisses. Que son sourire lumineux est encore sur moi.
Et je suis pourtant seul dans mon lit.
A repenser à ce jeune Gustavo, effectivement rencontré par hasard la veille, et qui nous avait tellement charmé.



lundi 12 mars 2018

L espion russe

De nouveau, je ne sais absolument pas comment je m’étais retrouvé dans cette situation. Toujours est-Il qu il était russe, et de surcroît espion de profession. Pourquoi était-il là, face à moi? Je n eus pas le temps de lui demander. Il approchait déjà ses lèvres des miennes. Des qu’elles s’effleurèrent, je ressentis comme une décharge électrique, puissante, mais pleine de promesses . Ce n était pas une arme à la James Bond, non. Juste ce type de décharge qui te traverse le corps, te fais frémir, sans doute de désir, peut-être de plaisir. Sa bouche insista, nos langues se trouvèrent. La décharge continuait, tous mes sens étaient en éveil, hyper réactifs.

Après , je ne sais plus trop ce qu il se passa , mais je ressentais cette décharge de partout, encore plus au bas-ventre , mon sexe érigé et dur comme de l acier , et une onde semblait vouloir bousculer mes fesses. Je sentais bien qu il appuyait fortement sous le périnée, avec son genou, ses doigts, je ne sais pas.
Il me sembla être en situation d’orgasme total, peut-être de ces orgasmes prostatiques qui feraient trembler tout le corps de plaisir pendant plusieurs minutes ( d après ceux qui l ont éprouvé, évidemment). La sensation était divine , unique, jamais ressentie.

Et tellement forte qu elle me réveilla.
J’étais en transpiration, l’espion russe s’était évaporé avec le rêve .
Mais , même si je me suis rendormi ensuite , cette sensation unique ne m a pas quitté de la journée . 

mardi 20 décembre 2016

Orgasme de rêve

Afficher l'image d'origineIl était plutôt costaud, un peu trapu en fait. Ce genre de type qui pourrait paraître enveloppé, mais qui n'est fait, en fait, que de muscle. Une corpulence dense. Massive. En même temps, ce n'était pas un géant, et je ne me sentais pas écrasé par lui, bien au contraire. Sa peau était de couleur crème, avec, si je me souviens bien, quelques taches de rousseur par-ci, par là. Il était imberbe. Il portait un boxer blanc.
Et je ne l'avais jamais vu auparavant.

Je ne sais pas comment cela s'est passé en fait, comment nous en sommes arrivés à nous retrouver à cet endroit. Il m'a entouré de ses bras, et sans que je ne m'en rende compte (et il faut vraiment être habile), il m'a pris doucement. Je l'ai senti en moi progressivement, puis violemment. Mais quand je dis violemment, ce n'est pas avec violence, c'est que la sensation était très forte, comme je n'ai jamais ressenti. Tout mon corps en tremblait de plaisir, de jouissance.

C'est à ce moment que devant un tel orgasme interne, je me suis réveillé.

Mon corps était entre deux eaux, plein de plaisir. Mon sexe, sec, était dur et me piquait.
La chambre était dans le noir, ma moitié dormait paisiblement.

Et je prenais conscience petit à petit que ce rêve d'orgasme interne, (qu'on appelle je pense prostatique), n'était pas qu'un rêve, qu'il était une réalité de mon corps.
C'est la première fois que ça m'arrive. J'espère pas la dernière.
C'est violemment agréable.

lundi 28 novembre 2016

Dans un train onirique

J'étais dans le train. A côté de moi, un homme plutôt bien fait, attirant. On est assis l'un à côté de l'autre.
Je dois au prochain arrêt changer de train. Enfin, pas si sûr. Il faudra que je demande au contrôleur.
Le train stoppe.
L'homme à coté de moi se lève, comme moi, va vers le contrôleur, comme moi, contrôleur qui se trouve sur le quai.
Nous descendons en même temps, posons la même question , pour remonter en vitesse dans le train, avant que les portes ne se ferment.

C'est là que je reconnais Dionysos, qui me reconnaît également. SA valise est maintenant ouverte, les fringues débordent. On rigole.

Je me réveille.
 Mais que viens-tu faire dans ce rêve si saugrenu, cher Dionysos? t'aurais pu au moins te mettre à poil, m'embrasser, comme cette autre fois , avec un troisième, qui m'avait provoquer un réveil plus qu'agréable?

samedi 1 octobre 2016

Moment bleu

C'était il y a quatre ou cinq mois. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais avec Dyonisos. En ballade dans une ville du sud, très méditerranéenne. 
Il fait chaud. 
Devant nous, une grande bâtisse, comme une église, prolongée par un bâtiment en longueur. Toujours dans ce style mi-espagnol, mi-marocain, avec des tuiles canal, des fenêtres grandes, fermées de longs volets pour ne pas laisser entrer la chaleur. 
Il doit être 18h, il fait chaud, mais on sent que la température va baisser. Dyonisos veut absolument connaitre la température du moment. Je luis dis 26°, il pense que c'est deux de moins. Il rentre dans cette bâtisse, qui se trouve être un hôtel, ou un gite de charme. Il a été plus vite que moi, je rentre et il a déjà disparu. L'intérieur est très chaleureux: déco très sobre, de "bon goût", qui invite au repos et à la rêverie. Il est monté aux étages. Je le rejoins, avec les bières fraiches qu'on a acheté auparavant, sur la place proche, et où on a manqué se faire écraser. D'en haut, il y a une très belle vue sur de beaux jardins fournis, verts et fleuris. On se dit qu'on pourrait rester. La pièce où nous sommes entrés est spacieuse, de murs blancs, avec un grand lit recouvert juste d'un drap au milieu, qui appelle à....

Une fenêtre, je penche la tête. 

tatouage poisson: carpeJe vois en contrebas un magnifique bassin, assez grand pour faire office de piscine, avec une eau très claire. Y nagent deux poissons. 
Avec de grands voiles, styles poissons chinois ou japonais, je ne sais. Ils sont d'un bleu turquoise profond. 
Je les vois très nettement, et appelle Dyonisos pour les lui montrer.

Et je ne sais ce qui se passe, mais mon sommeil est interrompu, et je ne saurais donc jamais si je terminerais la journée dans le lit avec Dyonisos à contempler les poissons bleus....ou autre chose. Mais ces poissons bleus sont encore dans ma tête. Et Dyonisos également qui apparait parfois dans mon sommeil.

mercredi 17 juin 2015

Doux moment


Je ne me souviens plus comment ca s'est passé. Ce qui est certain, c'est que j'étais allongé sur le dos dans mon lit, qu'il s'est approché, et qu'il est venu doucement au-dessus de moi, a approché ses lèvres, j'ai tendu le visage, et il m' a alors embrassé avec une douceur inouïe, une sensualité extrême. 

Un moment très intense, tous mes sens en éveil. 
C'est alors que j'ai aussi réalisé que Fabrice était mon ex voisin, ouvertement homosexuel, que je soupçonne d'ailleurs d'avoir une relation avec mon copain hétéro. C'est un copain de plus de 15 ans maintenant. Il n'a jamais su pour moi. 
Résultat de recherche d'images pour "homme nu qui dort"Mais là, impossible de me souvenir comment il a atterri ainsi dans mon lit, comment cette nuit a passé. J'ai un sentiment de plénitude qui m'envahit. La nuit a donc dû être très belle. 

Et soudain, je réalise. 
Que la réalité est dure, et que le collègue avec qui je partage cette chambre d’hôtel, et qui dort dans le lit d'à côté dort toujours. Que la journée d'hier était dure, que celle d'aujourd'hui le sera, mais que le sommeil et le monde des rêves va me permettre de passer une meilleure journée, en pensant à ce qui pourrait se passer avec Fabrice, si nous étions dans un même lit

Le monde des songes est parfois terrifiant, parfois merveilleux. Il y a des jours où je passerais mon temps à dormir, juste pour "vivre" ce genre de moments..