mardi 15 mars 2016

Jan Fabre "Mount Olympus/24h": pour Celeos!

Les oeuvres de Jan Fabre sont toujours particulières, ne peuvent laisser indifférents.

J'ai eu la chance de voir un de ses spectacles, magnifique, autour de l'huile d'olive, avec une femme qui terminait couverte d'huile d'olive, nue , continuant à danser avec cet élément plus que glissant. Etonnant, magique, ébouriffant!

Ici, grâce à "l'homme est un concept", je découvre cette création récente,  marathon scénique de 24 heures autour de notre fond commun grec antique,  avec un sirtaki des plus étonnants, qui me plait beaucoup!
Pas d'antiquités ici, que de la vitalité !

Clin d'oeil à Céléos , qui je pense, n'a jamais vu danser un pareil sirtaki!
Et à mes lecteurs qui apprécient l'anatomie masculine: elle est ici en mouvement joyeux et débridé!


lundi 14 mars 2016

Retour(2)

Le type m'a regardé avec un regard très étonné, du style: "je me propose de sucer ton muscle, moi qui suis digne de jouer dans des films X, et tu me repousses comme ça? on ne me l'a jamais faite, celle-là!". Je n'eus pas le temps de lui expliquer qu'il s'était déjà levé, et prenait la sortie, l'air dépité. Je ne lui ai pas couru après.

Je suis resté dans le hammam. J'y ai vu des choses intéressantes, évidemment.

Et puis, je suis allé au sauna, dans la piscine à remous, j'ai circulé dans les couloirs de cabines, tout ce qu'on fait dans un sauna, à croiser d'autres mecs, à se mater mutuellement, toujours dans un silence parfait, toujours en sachant très bien ce que l'autre cherche tout en faisant semblant de ne pas le savoir. 
C'est ainsi que je croise un autre homme, encore très bien foutu de corps, très belle gueule, avec une coupe de cheveux au cordeau. On se regarde fixement. Il revient vers moi. Il entre dans une cabine et laisse la porte ouverte. (Et ça, c'est un truc que je n'arrive pas encore à décrypter: ces mecs en cabine la porte ouverte, ils nous attendent? ils attendent n'importe qui? si quelqu'un peut m'expliquer, je suis preneur). 
Je passe devant la cabine, regarde, mais n'ose rentrer. Il ressort, s'adosse à un mur. On jour ainsi au chat et à la souris pendant 5 à 10 minutes, sachant que au bout d'un moment, je me dis que ce serait vraiment dommage de laisser passer ce spécimen. mais je ne sais pas pourquoi, je n'ose entrer ainsi dans la cabine où il est déjà retourné deux fois. 
Je repasse devant lui. Il est assis sur un banc de pierre. Je me pose alors devant lui, commence à lui caresser la tête, ses cheveux coupés au cordeau (mais pas en brosse, cette coupe assez gay j'ai l'impression, avec les cheveux long sur le dessus, mais courts sur les côtés) . Il réagit évidemment immédiatement, pose ses lèvres sur le bas de mon ventre, passe ses mains sur mon ventre, ma poitrine, m'entoure de ses bras. Il se lève, et on s'embrasse goulûment. Enfin , un mec qui embrasse avec appétit, avec avidité.
Cette fois-ci, c'est moi qui lui propose d'entrer dans la cabine, après avoir chacun soupesé le paquet de l'autre....
une fois dans la cabine, on continue à s'embrasser, se caresser mutuellement. On s'allonge, on couvre nos corps de baisers, les doigts se perdent dans la raie des fesses, mais...mais...aucun de nous ne tente de sucer l'autre. On est tous les deux très prudents, très chauds aussi. Sa langue est prodigieuse. Il me fait défaillir , et je suis au bord de l'orgasme à plusieurs reprises. Je suis obligé de l’empêcher de me toucher, tout en mordillant ses tétons , qu'il a durs et pointus. Il gémit doucement. Je le retourne sur le ventre, m'allonge sur son dos, dispose ma bite entre ses jambes, ce qu'il a l'air d'aimer. Il me fera de même un peu plus trad, mais toujours , nous ne dépassons pas certaines limites. 
Afficher l'image d'origineJ'adore son corps. Il est d'une douceur de peau rarement vu. Quand je lui demande comment il fait pour avoir une peau aussi délicate, il semble étonné de ma remarque. 
On reste assez longtemps dans la cabine. Jusqu'à ce que je ne tienne plus. 

On s'est beaucoup plu mutuellement. On s'est amusé sans prendre de risques (ou au moins en limitant, je sais qu'on peut aussi attraper des trucs en s'embrassant...). 
Mon retour au sauna est progressif, mais encadré. 

"Glissements progressifs du plaisir", comme dirait le nouveau roman, qui je pense n'a jamais franchi les portes d'un sauna de plaisir.

samedi 12 mars 2016

Retour (1)

Comme le dit Estef, j'en fais sans doute aussi un peu trop en ce moment. Ce qui explique le silence de ce blog. Mais, contrairement à lui, ce n'est pas forcément par excès de sexe, bien au contraire. C'est un peu morne plaine sur ce plan là en ce moment: pas le temps de m'en occuper, pas de temps à libérer, et puis, encore ces traces de mes aventures de l'automne qui , si elles ont épargné mon corps, ont un peu ébranlé mon esprit, et ralenti ma quête effrénée de corps d'hommes. 
C'est peut-être un bien, en fait. Au moins, je perds moins de temps sur des sites de rencontres, je renforce ma capacité de concentration sur d'autres volets de ma vie, et je sais mieux où je vais.
J'ai pourtant toujours un fort désir d'hommes.
Toujours. 

J'ai quand même pu m'échapper et me réserver quatre heures pour moi, l'autre jour, à Lyon. J'ai filé à mon sauna préféré, avec l'objectif de me délasser d'abord, de me rincer l’œil ensuite, et pourquoi pas de (me faire) caresser, voire plus, mais avec des précautions. 
J'ai ainsi retrouver cette atmosphère chaude et humide que j'affectionne. Cette promiscuité des corps qui me plait, et qui m'excite. Ces visions parfois paradisiaques, parfois d'enfer (dans tous les sens du terme). J'étais bien, sans être vraiment en recherche de contacts, mais disponible à l'imprévu, dans des limites que j'ai fixées. 

C'est ainsi que j'ai pu admirer dans le hammam un bel étalon, musclé, membré bien au-dessus de la moyenne, en position de chasseur. J'étais étonné quand il est venu s'asseoir très prés de moi, qui étais assis sans serviette, laissant ainsi à la vue de tous, même sous cet éclairage tamisé, mon sexe, bien moins impressionnant que le sien. Je ne résistais pas à sa caresse sur ma jambe, mon bas-ventre, puis plus précise sur mon entrejambe, qui se raidit immédiatement sous l'effet de cette caresse. je faisais de même sur ce corps musclé, sur cette bite impressionnante. Quand il se leva, et se positionna devant moi, je fus surpris de le voir s'agenouiller devant moi, et de commencer à venir sucer mon gland humide. Je fus encore plus surpris, quand d'un léger geste de la main, je lui intimais d’arrêter cette promesse buccale.

Il n'y a pas à dire, j'ai changé.....

samedi 20 février 2016

Charme d'un gazouillis professionnel

Il venait pour le boulot, accompagnée d'une collègue. 

En fait, c'était plutôt elle, la chef, qui venait accompagnée de lui, spécialiste expert-consultant. J'étais parti les accueillir à la gare, la moindre des choses quand même. Comme souvent, je suis arrivé en retard. Elle m'attendait, et quand je lui demandais où était son comparse, il arrivait à ce moment des toilettes. Il ne m'a pas fait grande impression à ce moment, mais il dégageait quand même un certain charme. Par ce qui est devenu un automatisme, j'essayais de deviner (on ne sait jamais!), sans succès, la bosse du pantalon. 
Nous avions une bonne heure de route. La discussion en voiture était très sympa, décontractée. On a vite parlé de leur pays, de leur ville, et puis de leur mission de deux jours ici, et pour laquelle j'avais préparé un programme assez chargé. On n'aura pas le temps de se marrer, tout juste celui de siroter une bière.

Je le découvrais pendant les deux jours. Il était un véritable expert de son domaine. Il menait tout le monde où il voulait par la force de son discours, par sa passion, par son enthousiasme. J'adore les personnes de ce genre. On a envie de tout faire pour eux, avec eux. Il vous emporte. C'est ça, le charisme! 
Afficher l'image d'origineEt je suis vite tombé sous le charme. Il était plutôt bien sappé, même si assez simplement, les cheveux coupés d'assez près, un regard lumineux et déterminé, bienveillant aussi. J'essayais d'en savoir plus sur sa vie perso, avait-il quelqu'un, des enfants? impossible de passer dans la conversation, ne serait-ce qu'une allusion. En tous les cas, pas de bagues au doigt. Mais finalement, qu'est-ce que ça veut dire? j'en ai bien une, et cç ne m'empêche pas de regarder les hommes, de faire des rencontres.

Dès la première nuit, il avait pris possession de mes rêves. 

Le lendemain matin passât à toute vitesse. On n'eût même pas le temps de déjeuner, je les raccompagnais à la gare. Leur mission s'était très bien passé. J'avais senti pendant ce court séjour une véritable complicité entre nous deux.
Le temps des "au revoir" à la gare. On se fait la bise avec elle. Je me tourne vers lui, j'ai envie de l'embrasser aussi. En tout bien tout honneur,  quand même. J'ai envie de le prendre dans mes bras, je tente une accolade, à l'espagnol ou à la mexicaine. 
Et là, je sens un étonnement soudain, une surprise dans le regard, un éclair de sourire, une certaine gène, puis une forme immédiate de résistance. J'ai compris, je n'insiste pas. Il me tends la main, mettant ainsi cette distance, que Estef dit marquer également dans un contexte professionnel. 

Je vais le revoir dans le cadre de mon boulot. Je ne sais pas quand. 
Pour l'instant, je le suis sur Tweeter. Et il "like" mes tweets. 
Un rien me ravit.
J'aimerais quand même bien gazouiller avec lui prochainement.

mardi 2 février 2016

Quand le désir s'envole....

Afficher l'image d'origineDepuis cette histoire de syphilis que finalement je n'ai jamais eu, je me rends compte que cela m'a quand même touché l'esprit, cela m'a touché le corps, assez profondément . Et que aujourd'hui, j'ai l'impression que mon désir c'est envolé. Je ne sais pas comment je vais réussir à retrouver ce désir, le désir pour l'autre, le désir du corps de l'autre, mais j'ai l'impression qu'il s est cassé un truc en moi.
C'est assez curieux comme sensation, assez nouveau: je vois de beaux corps, vis des situations qui il ya quelmques mois seulement, m'auraient fait bondir. Aujourd'hui, mes réactions sont proches d'un encéphalogramme plat. Je m'efforce d'avoir du désir. C'est désespérant.

Je noircis quand même le tableau. Il m'arrive d'avoir de belles érections. Des rèves torrides. Des étreintes assez chaudes. Mais j'ai connu plus chaud.

Un de mes lecteurs m'a envoyé un lien vers le manuel de l'aneros. C est ce qui te permet de déclencher des orgasme prostatiques et rien qu'à la lecture de ce manuel,  je peux dire que j'avais une érection des grands jours,  dure comme de l' acier brûlant, et que c'est sans doute de nouvelles sensations que je vais aller découvrir prochainement, sachant que apparemment, il faut quand même pouvoir se réserver des temps assez long de 1h30 à deux heures pour pouvoir ensuite déclencher ces vagues d'orgasmes, sans éjaculer, mais qui sont quand même des orgasmes qui apparemment dévastent le corps, le dévastent de plaisir, orgasmes que l'on peut répéter à saciété! c'est quand même des perspectives intéressantes!
Le problème, c'est qu'on fait ça tout seul, et moi, j'aime bien le contact dans la relation à deux, ou à plusieurs d ailleurs! 

Je reste optimiste, et je pense que quand même, mine de rien, mon désir, il va revenir petit à petit, et peut-etre plus vite que prévu!
Ah oui, il faut que j achète un de ces ustensiles! 

mercredi 20 janvier 2016

Habillage du blog

J'ai l'impression que blogger m'a joué un drôle de tour, et je ne retrouve plus ce fond noir qui me plaisiat et qui était l'habillage du blog.
Il y a maintenant comme un dégradé de gris en toile de fond qui ne me plaît pas du tout!
hé, les copains bloggers, vous n'avez pas ce souci? comment faîtes-vous pour personnaliser votre "toile de fond"?

dimanche 17 janvier 2016

Les traditions du dessous masculin pour la nouvelle année

Trés marrant!!
Plutôt latino.
Le Pérou me fait bien marrer!! et j'aime bien les 12 raisins de l'Espagne! Mais les autres valent aussi le détour!!
En tous les cas, jamais vraiment réfléchi à la couleur de mon boxer pour le 31! Je fais juste attention à ce qu'il soit propre!!!