A partir de quand on passe de superficiel à profond ? Je m’explique : on parle de blessures « superficielles », parce que en surface, et peu profonde. Quand on se blesse vraiment, au-delà de l’égratignure, la blessure devient profonde. Elle fait mal, en fait, ou pourrait s’infecter.
Une personne est superficielle jusqu’à quel moment ? Quand devient-elle « profonde » ? Qu’est-ce qui fait la différence entre le superficiel, le début de la profondeur et la vrai profondeur (genre un philosophe qui va te décortiquer des concepts philosophiques dans les plus amples détails et avec pertinence) ?
Je pose ces mots, car je me souvent très souvent superficiel, n’allant pas au fond des sujets, des discussions, par paresse, par méconnaissance, par bêtise certainement. Certains de mes proches me trouvent parfois profond, que je ne dis pas des paroles en l’air, que je ne parle pas pour ne rien dire. Moi, je ne sais plus trop en fait, car la différence entre le superficiel et le profond n’est pas toujours si évidente pour moi. Peut-être aussi parce que finalement, je porte une certaine exigence , et que ce que je considère comme superficiel chez moi pourrait être considéré par profond chez quelqu’un de superficiel.
Vous me suivez ? Non ? Et bien, je n’y arrive vraiment pas à exprimer ma pensée !!! Pas assez profond, Arthur ! Hahaha
PS : et je suis admiratif du post de Matoo sur le même sujet. Pas du tout superficiel, lui !
Pour en savoir plus sur Inktober with a keybord (Iwak), cliquer ici. A la base il s'agit de produire un dessin ou une ébauche, une illustration, un lettrage, une calligraphie ou une typographie mais comme je ne sais dessiner qu'avec des mots, il s'agira pour moi comme pour d'autres blogueurs de publier en octobre un billet par jour sur le thème défini dans la liste. A retrouver aussi chez Matoo et Estef .
Une notion en effet parfaitement relative !!! ;))
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