Γνοριζουν πως αν αγαπας κατι, καπιες φορες, πρεπει να τον αφισεις
Allez voir, ca dure moins de 3 minutes, je trouve ça très beau, tant au niveau de l'image du noir et blanc , que de cette histoire très simple.
Je pense avoir éduquer mes enfants de cette manière là.
FAWNS from Thanasis Tsimpinis on Vimeo.
Opinions sur le monde qui m'entoure. Tentatives d'exprimer mes ressentis. Une expérience égotique.
lundi 10 août 2015
samedi 8 août 2015
Dans les maïs
Cet été est un peu
morne côté rencontres. J'ai du temps disponible, mais le « marché »
est peu fourni !!! Pas grand monde sur les tchats (du moins,
dans mon coin), les saunas sont désertés (je me suis
retrouvé à 3 personnes dans le sauna de la ville d'à côté !!
c'est terrible comme sensation!), c'est un peu la misère !!
Pourtant, je suis
toujours en dialogue avec certains, impossible à voir tout au long
de l'année, car en couple (eux comme moi), et monsieur ou madame est
dans les parages, donc pas d'incartades extraconjugales possibles.
Il y a un certain Mathias
avec qui je dialogue depuis très longtemps. Il est marié, a avoué
à sa femme avant le mariage qu'il était attiré par les mecs, mais
elle ne lui en tient pas rigueur dans la mesure où il a « arrêté ».
En fait, il voit un mec régulièrement, à 5 minutes de son boulot,
et ne va pas voir plus que ça ailleurs. Quoique....puisqu'il traîne
régulièrement sur les tchats....
Moi, ca faisait longtemps
que je n'avais pas été sur les tchats, et depuis quelques jours, je
reprends contact avec lui. Etant assez dispo en ce moment, je lui
propose une rencontre, sachant que nous nous sommes quand même déjà
rencontré une fois, cet hiver, autour d'un verre, pour échanger sur
nos vies respectives, et difficultés d'emploi du temps et de
possibles rencontres.
Le courant était passé,
on se plaisait bien.
Il me trouve assez
persévérant, à le relancer, lui proposer un verre , voire plus.
Finalement, il mord à l'hameçon, me propose une rencontre hier fin
d'après-midi, à mi-chemin entre chez lui et chez moi, en pleine
campagne. Je ne peux pas, mais on convient de s'appeler aujourd'hui
pour un rendez-vous similaire.
On arrive donc à se
caler un moment entre 19h et 19h45. C'est court. Et je n'ai pas
compris si il veut un plan nature ou prendre un verre. Mais vu le
lieu de rendez-vous, un petit village, je doute d'un verre à
partager.
On se retrouve tout de
suite. Et immédiatement, il me propose de filer en voiture dans un
coin plus tranquille. On se suit, on trouve un petit chemin, qui
borde un champ de maïs. On discute un peu, il regarde sa montre , et
me suggère qu'on aille s'enfouir dans le champ de maïs. C'est vrai
que les maïs sont plus grands que nous, et qu'ils nous cacheront
très bien. On trouve une espèce de percée dans le champ, puis on
rentre dans une rangée. Personne ne peut nous voir.
Je commence à
l'embrasser, doucement, puis avec plus de fougue, lui fourrant ma
langue dans sa bouche, à la recherche de sa langue à lui. Je
caresse son dos, entrouvre sa chemise qui laisse découvrir un torse
poilu comme j'aime. Je lui passe la main sur la bosse avant de son
pantalon qui commence à prendre des proportions intéressantes,
caresse ses fesses fermes. Il entrouvre également ma chemise. Mais
moi qui ne lui ai entrouvert que deux boutons, lui entreprend
d'ouvrir tous mes boutons de chemise, qui de fait s'entrouvre
largement sur mon torse « mais t'es bien foutu en fait »
me dit-il, que je comprends comme un compliment, mais dont je
comprends mal le « en fait ». Il me dit que vu mon age,
je n'ai pas de bide, et là, je me demande ce que j'ai pu lui dire
qui lui faisait penser que j'avais du bide!!!!
Bon, continuons !
Je lui titille les tétons
de mes dents. Il souffle, crie doucement. Ça lui plaît. Je reprends
sa bouche, que je dévore avec véhémence. Il aime. Il est étonné
de ma « fougue » dit-il, qu'il n'imaginait pas :
« tu as l'air tellement sérieux d'apparence, on n'imagine pas
ce feu de ta part ! ». Çà, c'est un compliment pour
moi !. Il me caresse aussi, mais a plutôt tendance à se
laisser faire. C'est un passif. Je défais sa ceinture, ouvre son
pantalon, le baisse, pour découvrir un joli boxer que je baisse
rapidement, et d'où sort un drôle de diable, une bite épaisse,
totalement orientée vers la gauche. Jamais vu ça, mais amusant en
fait. Je m'agenouille, et commence à le sucer doucement, mais
voluptueusement. Il apprécie le bougre. Je me relève, prends sa
bouche de nouveau (« tu aimes jouer avec ta langue »,
me dit-il), malaxe ses fesses. Je coince sa bite entre nos deux
ventres, et commence un mouvement de frottements entre nos corps,
qu'il apprécie. En même temps, j'introduis un doigt dans sa
rondelle, ce qui le fait de nouveau crier doucement de plaisir.
Puisqu'il ne baisse pas mon boxer, je le fais, et vais placer ma bite
entre ses jambes, sous sa bite (il est un tout petit peu plus grand
que moi ; Ça , il aime. De l'autre côté, quand mon doigt
n'est pas en train de lui titiller l'anus, il lui masse le périnée.
Ça aussi , il apprécie.
On se rends compte à ce
moment là qu'aucun de nous n'a de capotes, ni de quoi nous essuyer
en cas d'éjaculation soudaine. Je lui explique que dame nature que
nous honorons ainsi, saura nous donner une solution en cas de
jouissance. D'ailleurs, elle nous gâte déjà , puisque une légère
brise agite les maïs, donnant un peu d'air dans cet fin d'après-midi
moite. Nos torses nus sont d'ailleurs déjà dégoulinants de sueur.
On entend des graviers
qui frissonnent. Une voiture approche, nous nous immobilisons, puis
la voiture repart. On reprends nos frottements. J'adore ce moment :
la nature, le mais, la brise, et ce mec bien foutu et sympa dont je
profite totalement. Ça me rappelle un moment sous les pêchers, il y
a quelques années !
Mais le temps tourne, il
est en costume de boulot, bien propre sur lui, je ne vais pas non
plus le culbuter sur la terre meuble du champ de maïs (d'ailleurs,
à la réflexion, avec la sécheresse actuelle, c'est un peu indécent
cette terre meuble...sans doute le prix à payer pour cacher nos
ébats illicites!). On décide
donc de s’arrêter là. Il est tout en érection avec sa bite qui
indique l'Ouest, un peu rouge d'excitation, dégoulinant tout comme
moi, qui bande aussi effrontément !
On
récupère nos pantalons, qui ont traîné dans la terre, et ne sont
donc plus très propres....nous avons donc laissé des traces!on se
frotte l'un l'autre nos fesses respectives !
Et
on se quitte, très désolé de ne pas avoir tout achevé, mais tout
aussi heureux de cette frustration qui n'appelle qu'à une autre
rencontre !
mardi 4 août 2015
De l'influence érotique de Corto Maltese et autres personnages illustrés sur Arthur Montignac.
Je me suis souvent posé
la question sur l'origine de mon attirance pour les hommes. Pourquoi,
quand tous mes copains se retournent sur une une belle femme qui
passe devant eux, l'effet provoqué sur moi n'est pas aussi
instantané ? Pourquoi je ne vois pas dans une femme qu'une
« possibilité sexuelle », comme beaucoup d'autres hommes
le perçoivent, alors qu'aujourd'hui (et ce depuis plusieurs
années, mais peut-être pas depuis l'adolescence), quand je
croise un homme, je jauge tout de suite cette « possibilité
sexuelle » ? et si ce qu'il me renvoie correspond à mes
critères, je ne vais avoir qu'une obsession : comment savoir
que lui aussi serait prêt à cette « possibilité sexuelle » ?
quand vais-je conclure ? Je ne dis pas que je ne regarde pas les
femmes ; Cela m'arrive aussi, j'arrive même à en rendre
jalouse ma belle, mais je n'ai pas le même désir sexuel devant une
belle femme, que devant un bel homme, et ce désir est beaucoup plus
intense envers un homme, qu'envers une femme.
Je ne sais pas à quoi
ces orientations sont dues. Beaucoup a été écrit sur le sujet, que
ce soit d'ordre psychanalytiques, social, familial et lié à
l'éducation, etc...On ne va pas y revenir. Mais récemment, en me
demandant pourquoi j'aimais bien les mecs bruns, la peau mat, pas
toujours bien rasés, j'ai recherché des images masculines très
fortes qui auraient bercées mon adolescence ou mon enfance. L'une
d'elle est Corto Maltese.
J'avais affiché dans ma
chambre un poster de Corto Maltese, grandeur nature, le visage
éclairé par une cigarette qu'il allumait. Il était debout, les
jambes légèrement écartées, et semblait me regarder en
permanence (voir ci-contre la seule reproduction que j'ai pu glaner sur internet). Le personnage m'a toujours fasciné : solitaire,
indépendant et un peu tête brûlée, voyageur et aventurier, poète,
"bouche d'or", connaisseur du monde et de ses mystères, et ayant des clés pour
appréhender des mondes ésotériques, fascinant les femmes (mais
lui connaît-on de réelles liaisons féminines ? il faut que je
me replonge dedans, avec délectation!), et aussi certains hommes
je pense, beau mec finalement, et qui correspond assez bien à mes
critères d'aujourd'hui. Scotché sur le mur de ma chambre, Corto
observait ainsi tous mes faits et gestes pendant plusieurs années.
Il a ainsi dû être témoin de mes premières masturbations, et des
suivantes, de mes ébats avec mon premier, et inconsciemment,
j'acceptais ce regard. Je suis presque sûr qu'aujourd'hui, c'est un
peu un « Corto » que je recherche comme homme
physiquement idéal !
Je peux vous dire que ma
quête n'est donc absolument pas terminée !!!
D'autres images me
viennent aussi. En découvrant le blog du « Priape de Millet »,
que je mentionnais dans le précédent billet, je me rappelais aussi
des aventures du « Prince Eric », héros des lectures
scouts, aux valeurs traditionnelles bien affirmées (bien que les
auteurs se considèrent de gauche, même si l'un d'entre eux a
fréquenté les milieux « ultra conservateurs »
d'avant-guerre, nobody's perfect!), qu'un de mes cousins lisait avec délectation et
m'avait fait découvrir (j'ai d'ailleurs réalisé il y a quelques
années que son père étaient un ancien militaire, guerre d'Algérie
et autres, et que peut-être , cet environnement expliquait
l'engouement de mon cousin pour cette littérature ?). Je me
demande ce qu'il y avait dans ces textes, et si c'est toujours lu par
une certaine catégories de jeunes, hormis les scouts. En tous les
cas, les illustrations étaient de style plutôt réalistes, un peu à
la manière de « Priape de Millet », en évidemment
beaucoup moins travaillées et homoérotique. Ces images me
touchaient et me touchent beaucoup moins, car trop froides et figées,
trop « idéalisées », voire limite facho ( avec
l'apologie du corps et du surhomme aryen, qui me crée un certain
malaise). Néanmoins, je me demande si ces bouquins ne véhiculaient
pas non plus une espèce de charge subliminale homoérotique, alors
qu'ils étaient totalement acceptés comme « bonne lecture
saine » par mes parents -qui regardaient assez peu ce que je
lisais d'ailleurs-, messages subliminaux qui m'auraient conduit à
regarder les hommes avec un certain regard ?
Enfin, ce qui a dû
achever de m'ouvrir à plein de possibles, hétéro ou homos
d'ailleurs, et qui finalement serait une explication de mon attirance pour les deux sexes, a été la lecture assidue du magazine « A
suivre », où sont parues les « Aventures d'Adèle
Blanc-Sec » de Tardi, mais aussi le Romans de Renard, scénarisé
par (créateur de Barbarella) et illustré par Cabanes, avec des
femmes aux formes bandantes (je contredis ce que j'écrivais plus
haut), qui se faisaient fourrer par le Renard, ou Ysengrin le
loup, chacun plutôt bien membrés, d'après mes souvenirs. Et
d'autres BD dont j'ai oublié le nom, mais dont le côté « sexe »
était très assumé, très libéré, très loin de la morale
inculquée par mon éducation.
Et là encore, je me rends compte que
mes parents n'avaient jamais mis un œil dans mes lectures.
Comme quoi, il faut
surveiller les lectures de notre jeunesse, avant qu'ils n'adoptent de
« mauvaises moeurs », même si elles restent cachées !!!
lundi 3 août 2015
Priape de Milet
Je viens de découvrir un blog , the priapus of Milet que je trouve assez fascinant, à mi-chemin entre la BD et le dessin animé, très orienté mythologie, mecs musclés, qui aime la bite....Ad Fundum (l'image) est assez bluffant: on ne sait plus si c'est un rêve ou un cauchemar. Plutôt un cauchemar pour moi en fait, trop de bites tuent la bite, mais c'est assez envoutant , je trouve.
J'aime bien Narcisse, moins cauchemardesque:
Pas encore tout regardé, mais je vous le recommande.
J'aime bien Narcisse, moins cauchemardesque:
Pas encore tout regardé, mais je vous le recommande.
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