J'étais dans le train. A côté de moi, un homme plutôt bien fait, attirant. On est assis l'un à côté de l'autre.
Je dois au prochain arrêt changer de train. Enfin, pas si sûr. Il faudra que je demande au contrôleur.
Le train stoppe.
L'homme à coté de moi se lève, comme moi, va vers le contrôleur, comme moi, contrôleur qui se trouve sur le quai.
Nous descendons en même temps, posons la même question , pour remonter en vitesse dans le train, avant que les portes ne se ferment.
C'est là que je reconnais Dionysos, qui me reconnaît également. SA valise est maintenant ouverte, les fringues débordent. On rigole.
Je me réveille.
Mais que viens-tu faire dans ce rêve si saugrenu, cher Dionysos? t'aurais pu au moins te mettre à poil, m'embrasser, comme cette autre fois , avec un troisième, qui m'avait provoquer un réveil plus qu'agréable?
Opinions sur le monde qui m'entoure. Tentatives d'exprimer mes ressentis. Une expérience égotique.
lundi 28 novembre 2016
lundi 21 novembre 2016
Dents
Mal de dents terrible.
Dentiste.
"Vous devez dormir en serrant les dents, non? Vous êtes stressé de nature? vous faites des cauchemars? des soucis au boulot? Faites attention quand même, certains arivent même à se casser les dents comme ça!"
C'est vrai que en ce moment il y a des tensions au boulot.
Mais quand même? ou est-ce ma face cachée qui s'exprime comme cela, au fond de la nuit, quand je me laisse aller à mes rêves, qui sont plutôt sympas et agréables? Mal de dents, mal d'amour? Mâle dedans?
En attendant (à tant dents), j'ai mal aux dents, et je déteste ça.
Dentiste.
"Vous devez dormir en serrant les dents, non? Vous êtes stressé de nature? vous faites des cauchemars? des soucis au boulot? Faites attention quand même, certains arivent même à se casser les dents comme ça!"
C'est vrai que en ce moment il y a des tensions au boulot.
Mais quand même? ou est-ce ma face cachée qui s'exprime comme cela, au fond de la nuit, quand je me laisse aller à mes rêves, qui sont plutôt sympas et agréables? Mal de dents, mal d'amour? Mâle dedans?
En attendant (à tant dents), j'ai mal aux dents, et je déteste ça.
jeudi 17 novembre 2016
Cuisses d'airain (2/2)
C'est alors qu'il est arrivé, ce bel
homme aux cuisses d'airains.
Il s'est infiltré légèrement entre nous, j'ai tout de suite senti un beau corps. Je l'ai laissé entrer entre nous. Et le jeune n'a pas bronché non plus. Je cherche les lèvres de ce nouveau, je découvre qu'il n'a pas de barbe. Et puis, je ne sais pas comment c'est arrivé ensuite, mais ce troisième se retrouve alors entre nous deux, comme pris en sandwich. J'étais derrière lui, debout, je me frottais sur ses fesses, sur son dos, avec tout le loisir de caresser non seulement son dos et ses cuisses mais également de prendre son sexe à pleine main, de caresser sa nuque, ses bras, tout en caressant également le corps du premier, du jeune au tatouage, avec qui nous échangions parfois des pelles, au-dessus de l'épaule airain, bien qu'il soit plus grand que nous. Les mains du jeune se baladaient également sur mes fesses, sur mon dos. Je passais mon sexe dans la raie des fesses en airain. Je l'ai glissé également entre ses cuisses, sous son sexe, tout en passant alors mes mains devant lui, en ayant tout le loisir de caresser et son sexe, et le mien, et celui du jeune. La scène dure un bon moment, plus d'un quart d'heure, peut-être 20 minutes. Mes mains passent de l'un à l'autre, d'un dos à un ventre, d'un sexe à un autre, j'avais des mains sur moi. Nous formons un groupe de trois, dans la pénombre, dans ce couloir du labyrinthe, où apparemment personne n'apparaît. De temps en temps, je prenais appui avec mes pieds contre le mur du couloir. Je m'excitais alors contre son dos, contre ses fesses, le poussant parfois avec force, sans oser le pénétrer ou tenter de le pénétrer. Je n'avais pas de capote à proximité immédiate. Et puis, je n'avais pas vraiment envie de ça. Je transpire à grosses gouttes: il fait chaud bien que nous sommes nus.
Il s'est infiltré légèrement entre nous, j'ai tout de suite senti un beau corps. Je l'ai laissé entrer entre nous. Et le jeune n'a pas bronché non plus. Je cherche les lèvres de ce nouveau, je découvre qu'il n'a pas de barbe. Et puis, je ne sais pas comment c'est arrivé ensuite, mais ce troisième se retrouve alors entre nous deux, comme pris en sandwich. J'étais derrière lui, debout, je me frottais sur ses fesses, sur son dos, avec tout le loisir de caresser non seulement son dos et ses cuisses mais également de prendre son sexe à pleine main, de caresser sa nuque, ses bras, tout en caressant également le corps du premier, du jeune au tatouage, avec qui nous échangions parfois des pelles, au-dessus de l'épaule airain, bien qu'il soit plus grand que nous. Les mains du jeune se baladaient également sur mes fesses, sur mon dos. Je passais mon sexe dans la raie des fesses en airain. Je l'ai glissé également entre ses cuisses, sous son sexe, tout en passant alors mes mains devant lui, en ayant tout le loisir de caresser et son sexe, et le mien, et celui du jeune. La scène dure un bon moment, plus d'un quart d'heure, peut-être 20 minutes. Mes mains passent de l'un à l'autre, d'un dos à un ventre, d'un sexe à un autre, j'avais des mains sur moi. Nous formons un groupe de trois, dans la pénombre, dans ce couloir du labyrinthe, où apparemment personne n'apparaît. De temps en temps, je prenais appui avec mes pieds contre le mur du couloir. Je m'excitais alors contre son dos, contre ses fesses, le poussant parfois avec force, sans oser le pénétrer ou tenter de le pénétrer. Je n'avais pas de capote à proximité immédiate. Et puis, je n'avais pas vraiment envie de ça. Je transpire à grosses gouttes: il fait chaud bien que nous sommes nus.
Au
bout d'un moment, j'ai envie de jouir sur ce corps. Je décide de me
frotter encore plus, afin de faire venir l'excitation, elle arrive
rapidement, je m'étale sur son dos.
Pendant
ce temps, un peu avant, le jeune avait décidé de s'éclipser, indiquant
qu'il allait revenir. Effectivement, en sortant, je le verrai attendant
sur un banc, à la sortie du labyrinthe.
Néanmoins
j'avais joui, et j'avais quelques scrupules par rapport au jeune au
corps d'airain. Je me disais qu'il devait avoir sa part de plaisir. Je
l' astique je le branle, mais rien n'y fait. Apparemment, il aimerait
que je le suce, et me le fais comprendre à trois reprises tentant de me
faire abaisser la tête jusqu'à... mais vous savez que je ne suis pas
fervent de ce genre de choses, depuis quelques temps, surtout avec un
inconnu. Il semble un peu déçu, mais il prend son mal en patience. Et
puis finalement, vu son attitude, je me rends compte qu'il n'a pas
forcément envie de venir comme ça, et qu'il semble vouloir arrêter.
Alors, on prends cette attitude un peu curieuse de celui qui
a-l'air-de-pas-y-toucher, plein d'innocence quasi enfantine!
Apparemment, ca ne semble pas poser de soucis et on décide tacitement de
sortir.
C'est alors que je vois sa
tête, à la lumière retrouvée.
Effectivement je ne l'avais pas remarqué
dans le hammam, ou dans le sauna: il est plutôt beau gosse, il doit
avoir 25 ou 30 ans, un beau spécimen,et je me dis que ça fait longtemps
que je n'avais pas serré un homme si jeune dans mes bras. Quant au
petit jeune, il semble attendre effectivement dehors. Il nous regarde,
il a une espèce d'air de chien battu un peu curieux.
Je ne demande pas mon reste. Il est très tard, je vais prendre une douche, et je quitte le sauna.
Belle
expérience, j'ai adoré ce moment! je n'ai qu'une envie: c'est de
revenir, c'est de retourner au sauna pour retrouver cette atmosphère
qui, ce soir-là, était particulièrement excitante, envoûtante,
sensuelle, sexuelle, comme rarement je l'ai vu dans ce sauna qui est
plutôt désert à chaque fois que je m'y rends.
On verra si la prochaine fois sera aussi fructueuse!
lundi 14 novembre 2016
Cuisses d airain (1/2)
Ces cuisses étaient d' airain, solides comme de l'acier J'étais derrière lui, debout accolé à son dos, mes mains caressaient ses cuisses, elles découvraient son torse imberbe, dur et ferme. D'airain également.
Il devait être jeune, vu son corps, vu la fermeté de son corps.
Je ne l'avais pourtant pas vu en arrivant dans le sauna, je me demandais d'ailleurs qui il était exactement. J'avais pensé un moment que c'était ce beau barbu, que j'avais aperçu dans le hammam, qui avait un corps plutôt intéressant d'athlète très légèrement enrobé, mais à la silhouette massive et puissante.. Mais, dans le noir, je n'avais pas trouvé sa barbe: c'était donc un d'autre.
En fait, il était arrivé là, entre nous, presque par hasard.
Après avoir déambulé pendant presque deux heures dans le sauna sans aucune rencontre, je m'étais aventuré dans le coin sombre du labyrinthe de la dark room. Je m'y aventure pourtant rarement. Je ne raffole pas de ces contacts à l'aveugle. À l'entrée, il y avait un jeune, avec un tatouage, qui reniflait. Je m'étais posté devant un écran qui diffusait un de ces porno gay parfois intéressants, je lui lançais des regards non équivoques, mais il ne bougeait pas. Je me déplaçais dans une cabine avec vue sur l'écran tout en laissant la porte ouverte, pensant qu'il allait venir me rejoindre, vu mes regards insistants. Mais il ne venait pas. Je décidais alors de sortir: je me dirige vers lui, et c'est alors qu'il se rends également vers la dark room, se postant à à l'entrée. Je m'approche alors de lui, tends ma main ver la serviette qui entoure sa taille. Il comprends tout de suite, fait de même. Il cherche ma bouche, et nous nous embrassons goulûment. Je le pousse légèrement dans un coin un peu plus un peu plus dans l'ombre. Je ne souhaitais pas être trop visible. Ma main se balade sur sa serviette. Son sexe est d'une mollesse extrême. Il est petit également. Mais j'étais tellement heureux de serrer ce corps d'homme dans mes bras. Je le pousse alors encore un peu plus dans un coin, dans le noir.
C'est alors qu'il est arrivé, ce bel homme aux cuisses d'airains......
dimanche 13 novembre 2016
Léonard Cohen : my favorite
Et je suis toujours prêt à le chanter à l'être dont je serais l'homme !
vendredi 4 novembre 2016
De l'influence d'un numéro de "Photo" sur le nu masculin
Je ne sais pas pourquoi, mais il m'est revenu ces derniers jours en mémoire, ce numéro du magazine "Photo", que j'avais découvert dans la chambre de mon frère ainé. Je devais avoir une quinzaine d'année. Sans doute mon frère l'avait-il acheté depuis quelques temps, et planqué. Il y avait d'ailleurs plusieurs numéros. Et "Photo" restait toujours intéressant, car il y avait toujours (ou souvent, je ne sais plus) des photos de femmes nues. Pour l'adolescent que j'étais, avec mes copains, c'était plutôt intéressant. Source de plein de découvertes.
Mais dans ce numéro, je ne sais plus si il y avait des femmes nues . Sans doute, vu la couverture.
En revanche, il y avait des hommes. Et si certains n'étaient pas nus, les photos mettaient en relief leurs anatomies. Il y avait, je me souviens, des photos de Noureev, en collant , répétant à la barre (sans jeu de mots, svp). Et il y avait des photos d'hommes nus, des artistes, plutôt des musiciens , avec leur instrument. Je me souviens d'un violoncelliste, assis, nu, avec son violoncelle à la main. Il y avait aussi un chanteur d'opéra français connu, impossible de me souvenir le nom..
Je me souviens aussi de ce bel homme, musclé, la peau mat je pense, légèrement poilu, la tête baissée, avec une légende qui disait "après l'amour". Je ne sais plus si le photographe était un homme ou une femme. Cette photo m'avait beaucoup impressionné, attiré. Plus tard, après avoir eu ma première expérience avec un homme, j'y suis souvent retourné, à ce fameux numéro. Toujours attiré par ces photos qui me faisaient bander. Et le peu de photos, comparé à ce que l'on peut trouver aujourd'hui, me créait un manque, que je souhaitais combler. Mais j'ai mis du temps à le combler!!
Finalement, cette photo ne désigne-t-elle pas le modèle de corps masculin que je recherche?
Je me demande où peut se trouver ce numéro de Photo, que j'avais piqué à mon frère, fait disparaitre dans mes affaires, et que j'ai conservé très longtemps. Mais aujourd'hui, impossible de me souvenir si il a été jeté, ou si je l'ai planqué quelque part, au milieu de mes bouquins.
mardi 1 novembre 2016
Cowboy Henk
Découvert par hasard en rangeant des revues de l'an passé, notamment un numéro du Monde Magazine, qui relatait une expo de "Cowboy Henk", un héros de bande dessinée belge, inspiré de Tintin, avec un côté décalé, parfois trash, absurde, comme savent si bien faire les belges. J'adore....
Et je ne sais pas pourquoi, mais je le soupçonne un peu d'être porté sur les mecs....
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