Et puis, il se faisait
tard, non ? Il fallait aussi passer à autre chose, à cette
exploration des corps que nous attendions avec impatience en fait.
On est passé dans une chambre. Il faisait frais, il craignait d'avoir
froid. Et puis, je ne sais plus comment
c'est parti, mais ça devait partir comme ça, et on s'est enlacé,
tombé sur le lit, nos bouches se sont trouvées, nos corps aussi. On
s'est vite retrouvé à poil, j'ai pu ré-admirer sa bite drue,
longue sans être démesurée, plutôt fine, stylée en fin de
compte, que ma bouche a pu apprécier à loisir tout au long de la
soirée, ainsi qu'au petit matin. Il est bien foutu, un corps bien constitué, musclé sans graisse, peu poilu (apparemment, il coupe
ses poils). Mes doigts fouillent un peu partout, je le retourne sur
le ventre, profite de ses belles fesses. Il fait de même. Et puis,
je ne sais plus trop. Il me caresse, semble aussi s'endormir dans
mes bras. Je monte sur lui, je m'assois sur sa bite. A un moment, il
a éteint la lumière. On a continué dans le noir (qui est
totalement noir, complet, on ne distingue pas une ombre) à se
caresser, s'embrasser, se sucer, se frotter avec nos corps, se
bouffer les oreilles. Ce qui est curieux, c'est que je ne me souviens
plus de l'ordre des choses, mais ça s'est fait, naturellement et
avec bonheur. Ou peut-être que les effets du pain m’empêchaient
de me concentrer calmement sur son corps ? Oui, ce fichu pain,
avec trop de levure, qui me provoquaient des bulles dans le ventre.
Ce n'est pas des plus érotiques, ni des plus romantiques, d'avoir
des bulles dans le ventre dans des moments pareils. C'est même
terrible. Je ne sais pas si il a vraiment compris sur le moment. Mais
bon, il a fait comme si il ne se rendait pas compte. Et moi, j'étais
content, satisfait, à profiter, à jouir du moment présent. Il a
fini par jouir. Il s'est lové
dans mes bras.
Et rapidement, j'ai entendu son souffle profond et régulier du sommeil réparateur.
Et rapidement, j'ai entendu son souffle profond et régulier du sommeil réparateur.
Au bout d'un moment, je
me suis levé boire un verre d'eau. Je me suis recouché à ses
côtés, il m'a collé. Je me suis endormi. Quelques temps après, je
me réveille transpirant. Son dos épouse mon ventre... ou mon ventre son dos, je ne sais plus. Nous avons dû dormir
profondément. Il est brûlant, une centrale thermique!!!je m'éloigne donc, mais il ne me lâche pas. Toute la nuit, il me
cherchera de la jambe, de son bras, de son corps. Il m'enlacera aussi.
C'était la seconde
enveloppe de la bulle qui se mettait en place autour de moi.
tendresse ... sensualité ... Belle nuit !! ... :-)
RépondreSupprimerA bientot pour la suite ..
O