Finalement, il était un peu au-dessus de moi. Il semblait nu, mais je ne voyais que son torse, et sa bouche qui me cherchait. Finalement, nos lèvres se sont effleurées, puis ont réussi à s'attraper, pour un entrelacement de langues des plus sensuels, chauds, érotiques, révélateur d'un désir partagé des plus puissants.
L'autre, son copain, (oui, il m'a finalement fait son coming-out par mail, et m'a dit qui était l'homme de sa vie), regardait la scène de loin, enfin de loin, non, juste du bout du lit.
Et tout d'un coup, mon bel hidalgo se met à éjaculer comme un fou. Les draps sont recouverts de grosses tâches nacrées, faisant de mon drap blanc une espèce de peau de léopard, avec des taches donc nacrées au lieu d'être noires. A ces tâches , viennent s'ajouter celles du copain, qui lui aussi ne se retient plus.
Et moi, soudain, je sors de mon rêve, en plein milieu de la nuit, si étonné de réaliser que j'ai enfin embrasser le "bel hidalgo", même si ce n'était que dans mes rêves. Evidemment, mon sexe est droit et dur. Mais sec.
bonjour, je suis arrivé sur votre blog depuis celui de Jeremie le rêveur, j'ai parcouru quelques uns de vos articles, j'espère que vous allez continuer. Joyeuses Pâques !
RépondreSupprimerBienvenue, altesse joviale!!!c'est bien agréable de savoir qu'on est ainsi royalement fréquenté!!! je vais redevenir plus régulier dans quelques temps sur ce blog...
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