vendredi 16 mars 2018

Bruxelles en application (1/2)

Petit tour à Bruxelles ces derniers jours qui me permet de rencontrer un lecteur du blog qu on appellera G. Très sympa, dans la même situation que moi , à savoir marié qui aime les hommes .  On déjeune ensemble, échangeons sur nos vies respectives, de leurs difficultés, mais finalement de notre capacité à gérer ces complexités, avec les autres , mais aussi dans nos têtes ! Car il ne faut pas croire, c est très compliqué à gérer dans nos têtes , ces vies concomitantes ( mais je ne me plains pas, j’ assume en moi-même cette complexité cérébrale et physique).
La veille , j avais fait un tour dans un sauna que je ne connaissais pas sur Bruxelles , que j ai toujours cru être très « in » et show off. Résultats: pas trop mal mais sans plus, peut-être le lundi soir n’est pas le meilleur moment pour y faire des rencontres, pourtant les espaces sont plutôt sympas notamment le hammam en longueur , plutôt spacieux avec des recoins sombres pour faciliter les ébats . Mais rien à me metttre sous la dent, des regards fuyants, ou alors des affamés du sexe qui font peur, avec en plus des douches qui ne fonctionnent pas très bien, je n ai pas passé la soirée de ma vie, même si j ai pu m y délasser et relaxer.
Je racontais ça a G et lui demandais si il faisait beaucoup de rencontres . C est là qu’il m a parlé des appli de rencontres, et notamment de Grindr.

Je  n’ ai jamais trop voulu me brancher là-dessus et télécharger ces applis, pour des raisons de sécurité, de traces numériques également. Mon lecteur s’en moquait , me faisant remarquer qu’il suffit de les effacer si on ne veut plus les avoir. Je pense qu’on laisse quand même des traces, même en suppprimant l´appli après utilisation. Mais il me montrait son profil, et les profils potentiels autour de nous . Car cette appli permet en effet de localiser d’autres mecs dans le voisinage utilisant l’appli.
La discussion sur ce thème en resta là,  mais la graine avait été semée : un jour, j’essaierai !

1 commentaire:

  1. Arthur s’enfonçait lentement dans l’abime. Il ne voyait pas encore qu’il n’en pourrait jamais remonter...

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